Femmes de lettres, accès par période : XVIIIe siècle
Marie-Anne Barbier, Madame Du Deffand, Madame de Genlis, Olympe de Gouges, Mary Shelley et bien d'autres… Téléchargez gratuitement les oeuvres des femmes de lettres du XVIIIe siècle.
- Arrie et Petus, tragédie, Paris, Brunet, 1702.
- Arrie et Petus in Théâtre de Mademoiselle Barbier, Paris, Briasson, 1745.
- Cornélie, mère des Gracques, tragédie, Paris, Pierre Ribou, 1703.
- « Épitaphe de Mlle de Scudéry » in Le Mercure de France, juillet 1701.
- La Mort de César, Comédie-Française, 26 novembre 1709, Paris, Pierre Ribou, 1709.
- Tomyris, tragédie. Représentée le 23 novembre 1736. Paris, P. Ribou, 1707.
Voir aussi le billet de blog Gallica Marie-Anne Barbier
Traductions en français disponibles sur Gallica
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Voir aussi le billet de blog Gallica L'Imagination féminine des romans de Fanny Burney
- Caliste, Paris, Hachette, 1853.
- Lettres neuchâteloises, Genève, A. Jullien, 1908.
- Claire d'Albe, Paris, Lebègue, 1820.
- Malvina, Paris, Maradan, 1800, 4 volumes.
- Œuvres complètes. Paris, Ladrange, 1823, 9 volumes.
Les deux romancières, aux tempéraments très différents, ont écrit à quatre mains. Leur œuvre la plus connue, et faisant partie des classiques de la littérature néerlandaise, est le roman épistolaire Histoire de Mademoiselle Sara Burgerhart (1782), traduit en français en 1787. Il est considéré comme le premier roman contemporain néerlandais. Dépeignant de l’intérieur la bourgeoisie, il est également présenté comme un « roman national authentique » et porte d’emblée la mention « non traduit » pour revendiquer l’authenticité néerlandaise. Soutenant les patriotes, les deux amies quittent les Pays-Bas pour se réfugier en France après l’invasion prussienne, en 1788.
- Histoire de Mademoiselle Sara Burgerhart, publiée en forme de lettres, par mesdames E. Bekker, veuve du ministre Wolff, et A. Deken, Lausanne, F. Grasset, 1787, 4 volumes.
- Lettres, Paris, Collin, 1809, 2 volumes.
- Lettres, Paris, Plon, 1865, 2 volumes.
Voir aussi le billet de blog Gallica Horace Walpole et Mme du Deffand : une étonnante "amitié"
- Le Portefeuille de Mme Dupin, dame de Chenonceaux. Lettres et oeuvres inédites de Mme Dupin, l'abbé de Saint-Pierre, Voltaire, Jean-Jacques Rousseau, Montesquieu, Mably, etc. publié par Gaston de Villeneuve-Guibert, Paris, Calmann Lévy, 1884
- Lettres à mon fils, Genève, s. n., 1759.
- Mémoires et correspondance, Paris, E. Didier, 1855.
- Mes moments heureux, Genève, s. n., 1758.
- La Femme auteur, Paris, Maradan, 1802.
- Inès de Castro, Paris, Maradan, 1817.
- Mémoires inédits, Paris, Ladvocat, 1825, 10 volumes.
- Nouveaux contes moraux, Paris, Maradan, 1802, 3 volumes.
Voir aussi l'article Madame de Genlis, moteur pour les «femmes auteurs» de la chronique Fières de lettres.
- Correspondance inédite du roi Stanislas-Auguste Poniatowski et de Mme Geoffrin (1764-1777), précédée d'une étude sur Stanislas-Auguste et Mme Geoffrin et accompagnée de nombreuses notes, par Charles de Mouÿ, Paris, E. Plon, 1875.
- Éloges de Madame Geoffrin, contemporaine de Mme Du Deffand , par MM. Morellet, Thomas et d'Alembert, suivis de lettres de Mme Geoffrin et à Mme Geoffrin, et d'un Essai sur la conversation, etc., etc., par M. Morellet, Paris, H. Nicolle, 1812.
- Les cent nouvelles nouvelles, Paris, Vve Guillaume, 1732-1739
- Habis, tragedie, Paris, P. Ribou, 1714.
- Les Journées amusantes, Paris, G. Saugrain (Vve Guillaume, C. Le Clerc), 1722-1731.
- Oeuvres mêlées, de madame de Gomez, contenant des tragédies & différens ouvrages en vers & en prose, Paris, G. Saugrain, 1724.
Voir aussi l'article Madame de Gomez, quand nécessité fait littérature de la chronique Fières de lettres
- Lettres d'une péruvienne, Paris, 1747.
- Œuvres choisies, Paris, Caille et Ravier, 1819. 2 volumes.
Louise de Keralio a contribué à l'instauration d'un matrimoine littéraire en éditant de 1786 à 1789 les 14 volumes d’une Collection des meilleurs ouvrages françois, composés par des femmes, dédiée aux femmes françoises. Le 13 août 1789, elle fonde le Journal d'État et du citoyen, dont l'épigraphe est « Vivre libre ou mourir », et devient la première rédactrice en cheffe française.
- Le Camp de Vertus, ou la Grande revue de l'armée russe, dans la plaine de ce nom, par l'empereur Alexandre... Paris, Le Normant, [s.d.].
- Valérie, Paris, Henrichs, 1803, 2 volumes.
- Mémoires de Mademoiselle de Sternheim. Traduit par Marie-Elisabeth de La Fite. La Haye, P. F. Gosse, 1775. 2 volumes.
- Miss Lony. Traduit par Marie-Élisabeth de La Fite. Lausanne, L. Luquiens, 1792.
Voir aussi le billet de blog Gallica Sophie von La Roche, aux débuts des lettres allemandes
Voir aussi l'article Deux plumes pour un conte : la double maternité de «la Belle et la Bête» de la chronique Fières de lettres
- « Portrait de Mlle* fait par elle-même » in Mercure de France : dédié au Roy, mars 1751, p. 34-40.
- OEuvres de lady Montague, contenant sa vie, sa correspondance, Paris, Henrichs, A. Bertrand ; Bordeaux, Melon et Cie, 1804. 4 volumes.
Voir aussi le billet de blog Gallica Une anglaise en Turquie : Lady Montague
- Des inhumations précipitées, Paris, Impr. Royale, 1790.
- Lettres diverses, recueillies en Suisse, par le Cte Fédor Golowkin ; accompagnées de notes et d'éclaircissemens, Genève, J. J. Paschoud, 1821.
- Mélanges extraits des manuscrits de Mme Necker, Paris, Charles Pougens, 1798, 3 volumes.
- Réflexions sur le divorce, par Mme Necker, Lausanne, Durand Ravanel, 1794.
- Histoire d'Ernestine, Paris, Le Bailly, 1849.
- Histoire du marquis de Cressy, Amsterdam, s. n., 1758.
- Lettres de Mistress Fanny Butlerd, Paris, Société des Libraires, 1757.
Voir aussi le billet de blog Gallica Les Voyages de Milord Céton dans les sept planètes
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Voir aussi le billet de blog Gallica Mary Shelley et le mythe de la création
Traductions en français disponibles sur Gallica
- Mémoires de Madame de Staal, écrits par elle-même, Londres, 1755, 4 tomes.
- Les Écosseuses, ou Les Œufs de Pasques, Troyes, Vve Oudot, 1739-1745.
- Le Bordel ou Le Jean-Foutre puni, comédie, à laquelle on a joint un balet en trois scénes, Ancone [i.e. Paris], Jean Chouard, 1747.
Voir aussi l'article Deux plumes pour un conte : la double maternité de «la Belle et la Bête» de la chronique Fières de lettres