Franz Schubert (1797-1828)

Parmi ceux-là, se trouvent deux des trois fragments (MS-273 et MS-276) du deuxième cahier de lieder envoyé au poète Goethe en 1816, pour lui en faire accepter une dédicace, envoi resté sans réponse. Citons également  An die Musik (MS-294) dans une première version, Rastlose Liebe (MS-299), dans une version transposée en ré majeur pour le baron Schönstein , Im frühling (MS-2194), ou encore Loda’s Gespenst (MS-278).

D’autres œuvres de musique religieuse ou vocale, comme la Cantate Beitrag zur fünfzigjährigen Jubelfeier des Herrn von Salieri, D 407 (MS-280), pour l’anniversaire de son ancien professeur Antonio Salieri complètent cet ensemble.

Elle fut arrangée pour violon (MS-304 bis) par Anton Diabelli, en vue d’une édition jamais publiée, mais elle est surtout connue aujourd’hui dans des interprétations au violoncelle ou à l’alto.

Citons également, dans le domaine instrumental, quelques œuvres pour piano, dont ces 12 danses avec trio réunies par la suite par Anton Diabelli, avec un autre groupe de danses pour former le recueil des « Letzte Walzer », D 146 (MS-279), la Sonate en la mineur D 537 (MS-288) ou les 10 variations en fa majeur D 156 (MS-271). La BnF conserve aussi un feuillet du manuscrit démembré de la Sonate en do majeur D 840 (MS-16860).