Revues savantes de Seine-Maritime
Publications disponibles de 1869 à 1938
La Société de l’Histoire de Normandie a été fondée en 1869 sur le modèle de la Société de l’histoire de France. (Lasteyrie IV, p.470)
publications disponibles de 1826 à 1940
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Les publications de la Société d’émulation ne commencent qu’en l’an V, ce furent d’abord des Rapports mensuels, puis trimestriels. Puis elle inaugura une suite de Comptes rendus de ses Séances publiques qui s’est poursuivie régulièrement depuis l’an XII au moins, jusqu’en 1836. Depuis 1837, la Société d’émulation publie un Bulletin. (Lasteyrie, Bibliographie, t.4, p.460)
Publications disponibles de 1879 à 1922
La Société normande de géographie a été fondée en 1879. (Lasteyrie IV, p. 468)
Publications disponibles de 1837 à 1845
Publications disponibles de 1863 à 1932
La Société des bibliophiles normands a été fondée en 1863, dans le but de « faire imprimer à petits nombres des opuscules curieux, des pièces inédites ou d’une grande rareté qui peuvent intéresser la Normandie ». Elle a fait paraître, en plus de ces pièces isolées, une suite de comptes rendus de ses assemblées générales, qui contiennent de loin en loin des articles intéressant l’histoire et l’archéologie. (Lasteyrie IV, p. 453)
Publications disponibles de 1872 à 1929
La Société rouennaise de bibliophiles a été fondée en 1870 ; « (…) elle réimprime d’anciens ouvrages devenus rares et édite des documents inédits intéressant les cinq départements de Normandie. Ce n’est que par exception et à un nombre restreint d’exemplaires que ses publications sont mises dans le commerce ». (Lasteyrie IV, p.459)
Publications disponibles de 1873 à 1937
publication disponible : 1936
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Cette Société, fondée le 18 novembre 1909, a pour but la défense et la mise en valeur des meubles et immeubles concernant l'histoire de Fécamp et du Pays de Caux, et l'amélioration du musée et de la bibliothèque de la ville de Fécamp. Elle publie un Bulletin, à périodicité annuelle. (Lasteyrie, Bibliographie générale 1910-1940, p.66.)
Publications disponibles de 1835 à 1968
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La Société havraise d’études diverses a été fondée en 1833 dans le but de « contribuer au progrès de la morale, des sciences, de la littérature, du commerce, de l’industrie, de l’agriculture et des beaux-arts ». Elle a été reconnue d’utilité publique par décret du 30 décembre 1865. La Société publie, depuis son origine, un Recueil. (Lasteyrie IV, p.408)
publications disponibles de 1922 à 1938
Au cours du XVIIIe siècle, à l'imitation de l'Académie française, sont nées des académies provinciales, à caractère surtout littéraire. Parallèlement apparaissent des sociétés savantes dans le domaine des sciences, de l'agriculture, de la médecine. Interdites à la Révolution, elles réapparaissent progressivement sous l'Empire, la plus célèbre fondation est peut-être celle d'une Académie celtique, devenue Société des Antiquaires de France. De nouvelles sociétés correspondant à des curiosités historiques et scientifiques et à une forme de sociabilité partiellement inspirée des modèles anglo-saxons naissent alors. Elles étaient organisées sur le modèle des quatre classes de l'Institut, agriculture, sciences, lettres et art.
Entre la Restauration et la fin du Second Empire sont nées une centaine de sociétés savantes à curiosités multiples. Guizot, ministre de l'Instruction publique de la Monarchie de Juillet souhaitant réconcilier l'ancienne société et la Révolution fonde les grandes institutions de mémoire, Comité des Travaux historiques et scientifiques, Commission des Monuments historiques, Société de l'Histoire de France etc. Pour réaliser l'inventaire des monuments, des archives, il invite les chercheurs à utiliser des méthodes communes et des vocabulaires descriptifs normalisés.Il favorisa la publication des résultats dans de grandes collections nationales comme la collection des documents inédits pour servir à l'Histoire de France. Parallèlement à ces entreprises de l'Etat, l'érudit normand Arcisse de Caumont instaurait un réseau d'archéologues dans toute la France et créait l'ancêtre de la Société française d'archéologie, qui existe encore.
Françoise Bercé, Inspecteur général du Patrimoine