Revues savantes de Paris
Publications disponibles de 1899 à 1933
Cette Commission a été instituée par arrêté préfectoral du 18 décembre 1897 dans le but de rechercher les vestiges du vieux Paris, de constater leur état actuel, de veiller à leur conservation, de suivre au jour le jour les fouilles entreprises et les transformations jugées indispensables et d'en conserver des preuves authentiques. La Commission du Vieux Paris a publié, depuis 1898, des fascicules de procès-verbaux qui forment annuellement un volume illustré de nombreuses planches hors texte. (Lasteyrie VI, p.109)
Publications disponibles de 1885 à 1900
La Société des Amis des monuments parisiens a été fondée en 1884, et autorisée par arrêté préfectoral du 21 avril 1885. Elle publie, à intervalles irréguliers, un Bulletin. (Lasteyrie, Bibliographie, t.3, p.607)
publication disponible de 1927 à 1940
publication disponible de 1913 à 1939
publication disponible de 1902 à 1939
publication disponible de 1895 à 1938
publication disponible de 1898 à 1938
publication disponible de 1906 à 1939
publication disponible de 1899 à 1938
Publications disponibles de 1886 à 2009
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La Société du Vieux Montmartre, fondée en 1886, a fait paraître un maigre Bulletin formant, de 1886 à 1893, 20 Fascicules à pagination distincte. Depuis 1895 ce Bulletin a pris plus d'importance et ses fascicules ont été réunis en volumes. (Lasteyrie VI, p.544).
publication disponible de 1927 à 1931
Publications disponibles de 1892 à 1930
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La Société historique d’Auteuil et de Passy a été fondée en 1892 ; elle publie un Bulletin. (Lasteyrie VI, p.465)
publication disponible de 1938 à 1948
publication disponible de 1851 à 1863
Au cours du XVIIIe siècle, à l'imitation de l'Académie française, sont nées des académies provinciales, à caractère surtout littéraire. Parallèlement apparaissent des sociétés savantes dans le domaine des sciences, de l'agriculture, de la médecine. Interdites à la Révolution, elles réapparaissent progressivement sous l'Empire, la plus célèbre fondation est peut-être celle d'une Académie celtique, devenue Société des Antiquaires de France. De nouvelles sociétés correspondant à des curiosités historiques et scientifiques et à une forme de sociabilité partiellement inspirée des modèles anglo-saxons naissent alors. Elles étaient organisées sur le modèle des quatre classes de l'Institut, agriculture, sciences, lettres et art.
Entre la Restauration et la fin du Second Empire sont nées une centaine de sociétés savantes à curiosités multiples. Guizot, ministre de l'Instruction publique de la Monarchie de Juillet souhaitant réconcilier l'ancienne société et la Révolution fonde les grandes institutions de mémoire, Comité des Travaux historiques et scientifiques, Commission des Monuments historiques, Société de l'Histoire de France etc. Pour réaliser l'inventaire des monuments, des archives, il invite les chercheurs à utiliser des méthodes communes et des vocabulaires descriptifs normalisés.Il favorisa la publication des résultats dans de grandes collections nationales comme la collection des documents inédits pour servir à l'Histoire de France. Parallèlement à ces entreprises de l'Etat, l'érudit normand Arcisse de Caumont instaurait un réseau d'archéologues dans toute la France et créait l'ancêtre de la Société française d'archéologie, qui existe encore.
Françoise Bercé, Inspecteur général du Patrimoine