Résultats de recherche pour "Grands magasins"

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  • dessin en noir et blanc représentant quatre hommes dans un salon bourgeois. Deux d'entre eux sont debout et en train de manipuler pour l'un une épée pour l'autre une lance. Un troisième est assis dans un fauteuil, et le dernier et debout, une main posée sur le dossier du fauteuil. Ils semblent en pleine discussion. En bas de l'image, on voit une légende indiquant les vêtements portés par chacun : "Robes de chambre n°300" "Gentleman n°302" et "Costume du matin n°303"
    La mise en ligne, par la Bibliothèque Forney, de centaines de catalogues de grands magasins des années 1860 à 1940, richement illustrés, nous invite à explorer une iconographie méconnue et tenter d’en savoir plus sur leurs dessinateurs et dessinatrices.
  • Jusqu'à l'aube de la guerre, le Bon Marché poursuit une modernisation commerciale et publicitaire
  • « Cathédrale du commerce moderne » (Zola, Au Bonheur des Dames), le Bon Marché est l’une des enseignes historiques des grands magasins parisiens. 
  • Au 19e siècle, dans la bourgeoisie héritière des Lumières, la place de l’enfant évolue vers plus de considération. Les grands magasins alors en plein essor cherchent à accroître leurs ventes en proposant des articles plus variés, susceptibles d’intéresser une clientèle élargie. La jeunesse est donc…
  • Vue de la place del Palacio au Mexique en noir et blanc. On distingue quelques personnes qui se promènent sur la place, devant un édifice longiligne rythmé par une série d'arcades.
    Au Mexique, à partir de la fin du XIXe siècle, fleurissent des grands magasins bâtis sur le modèle parisien. Pour comprendre les raisons de cette éclosion, partons sur les traces des « Barcelonnettes », ces habitants bas-alpins émigrés au Mexique.
  • image rectangulaire dessinée, où on voit, sur fond bleu, un drap blanc en trapèze. La partie la plus large du trapèze est en haut de l'image, et imite des plis de draps. En rouge, sur le drap, est écrit en majuscules "BLANC".
    Parmi les techniques typiques des grands magasins, les ventes annuelles sont une pratique courante et très efficace pour attirer les clients, vendre beaucoup de marchandises et renouveler les stocks pour présenter ensuite une nouvelle collection.
  • Ce billet vient achever le cycle consacré à « L’art de la devanture en France (XIXe-XXe siècles) ». Il aborde la question de la communauté professionnelle étalagiste, particulièrement forgée pendant l’entre-deux-guerres. 
  • L’apparition des grands magasins est un marqueur de la modernité et de l’imposition de nouveaux modes de consommation d’inspiration parisienne. Découvrons ceux de Toulouse, qui s’implantent timidement à partir du Second Empire.
  • Ce quatrième billet s’inscrit dans le cycle « L’art de la devanture en France (XIXe-XXe siècles) ». En se concentrant sur les deux principales revues spécialisées d’alors, la Revue internationale de l’étalage et Parade, il aborde la question de la presse étalagiste corporative.
  • Ce troisième billet complète la série thématique consacrée à « L’art de la devanture en France (XIXe-XXe siècles) » en abordant, cette fois, une typologie spécifique d’étalage particulièrement développée dans l’entre-deux-guerres : l’étalage publicitaire.