Chronologie
7 janvier : Pierre de Lamartine épouse Alix des Roys.
13 mars : Naissance de Mary-Ann-Elisa Birch.
21 octobre : Naissance d'Alphonse-Marie-Louis de Lamartine, à Mâcon où il vivra jusqu'en 1797.
2 mars : Alphonse entre à l'institution Puppier, à Lyon.
9 décembre : Il s'enfuit de la pension Puppier où il est ramené par la gendarmerie ; il y achève l'année scolaire.
27 octobre : Il entre au collège des Pères de la Foi (ex-jésuites), à Belley. Il y suivra les classes de troisième, seconde, rhétorique et philosophie.
17 janvier : Il quitte le collège pour aller consulter des médecins à Lyon et revient ensuite à Mâcon ; il ne retournera plus à Belley.
Septembre-octobre : À Bienassis, chez son ami Guichard, il découvre les philosophes du XVIIIe siècle.
Janvier-février : Séjour à Lyon.
Décembre : Idylle avec « Lucy L*** » (Mlle Pascal).
Janvier-mai : Études et plaisirs à Lyon.
Décembre : Intrigue avec Henriette Pommier.
19 mars : Réception de Lamartine à l'Académie de Mâcon.
1er juillet : Départ pour l'Italie.
Novembre : Séjour à Rome.
Début décembre : Arrivée à Naples où il séjournera jusqu'en avril 1812. Liaison avec Antoniella.
Mai : Retour à Mâcon ; Lamartine est nommé maire de Milly. Liaison avec l’épouse d’un de ses voisins, Nina de Pierreclau.
Juillet : Séjour de deux semaines à Paris.
1er mars : Naissance de Léon de Pierreclau, fils de Lamartine et de Nina de Pierreclau.
Avril-septembre : Séjour à Paris.
Début novembre : Lamartine écrit Médée, tragédie qui ne sera publiée qu’en 1873. Il compose des épîtres en vers et travaille à des élégies.
5-6 décembre : À Milly, plan de Zoraïde, tragédie commencée puis abandonnée dans les jours suivants.
Janvier : Les Alliés sont à Mâcon.
Juillet-novembre : Lamartine garde du corps à Beauvais et aux Tuileries.
30 novembre : Retour à Milly, en congé.
Janvier : Lamartine lit à l'Académie de Mâcon une Élégie sur la mort de Parny. Il écrit « Le Dernier Réveil ou le chrétien mourant » qui prendra place en 1820 dans les Méditations.
Mai-juin : Les Cent Jours. Lamartine passe en Suisse et en Savoie.
Août : Il reprend son service de garde du corps.
1er novembre : Il démissionne, puis regagne Milly.
Janvier-juin : Lamartine est à Paris où il commence à mener une vie mondaine et cherche à se faire une position.
Avril : Il apprend la mort d'Antoniella.
Juin : Il annonce qu'il va publier « quatre petits livres d'élégies ».
6-26 octobre : Séjour aux eaux d'Aix où il rencontre Julie Charles.
Janvier-mai : Séjour à Paris, où Lamartine fréquente le salon de Mme Charles ; il reprend la tragédie de Saül qu'il achèvera en 1818.
Août-septembre : Il attend en vain Julie Charles à Aix (écriture du poème « Le Lac »).
Fin décembre : À Milly, il apprend la mort de Julie, survenue à Paris, le 18 décembre.
Juin : Projet de tragédie politique, César ou la veille de Pharsale.
Octobre : Talma renonce à présenter Saül à la Comédie-Française.
15 février : Après le mariage de sa sœur Césarine, où il a été présenté à Miss Birch, Lamartine part pour Paris.
Février-juin : Liaison ardente et tumultueuse avec Léna de Larche.
Juillet-septembre : À Chambéry et à Aix, Lamartine revoit Marianne Birch dont il demande la main ; son père est hostile à ce mariage, la mère de Marianne s’y oppose également.
Décembre : Retour à Paris.
Janvier-février : Lamartine met la dernière main aux Méditations. Il est atteint d’une grave pneumonie qui met ses jours en danger.
11 mars : Mise en vente des Méditations poétiques ; le volume est publié sans nom d’auteur, mais l’identité de celui-ci n’est un secret pour personne.
27 mars : Lamartine est nommé attaché d'ambassade à Naples.
6 juin : À Chambéry, Lamartine épouse Marianne-Elisa Birch qui s’est convertie au catholicisme, Mme Birch ayant fini par donner son consentement.
Début août : Installation à Naples.
Septembre-octobre : Marianne et sa mère s’installent dans l’île d’Ischia où Lamartine va les rejoindre aussi souvent qu’il le peut.
20 janvier : Lamartine quitte Naples pour regagner la France. Première conception du grand poème des Visions, qui restera inachevé.
15 février : À Rome, naissance du petit Alphonse de Lamartine, qui ne vivra que vingt mois.
17 mars : Naissance de Valentine de Cessiat, fille de sa sœur Cécile.
21 septembre : Les Lamartine sont de retour à Mâcon.
14 mai : Naissance à Mâcon de Julia de Lamartine.
Juillet-octobre : Séjour en Angleterre où Lamartine va faire la connaissance de la famille de son épouse.
4 novembre : À Paris, mort du petit Alphonse.
Décembre : Neuvième édition des Méditations poétiques chez Charles Gosselin.
Février-mars : Lamartine travaille à La Mort de Socrate et aux Nouvelles Méditations.
20 septembre : Publication de La Mort de Socrate chez Ladvocat.
27 Septembre : Publication des Nouvelles Méditations poétiques chez Urbain Canel.
Fin décembre : Lamartine arrête le plan d’ensemble du poème des Visions.
Janvier-juin : Lamartine travaille activement au poème des Visions.
12 février : Mort de Césarine de Vignet, sœur de Lamartine.
19 avril : Mort de Byron, à Missolonghi.
12 août : Mort de Suzanne de Montherot, sœur de Lamartine.
16 septembre : Mort de Louis XVIII ; le comte d’Artois, son frère, lui succède sous le nom de Charles X.
4 décembre : Échec de Lamartine à l'Académie française.
Mi-décembre : Il commence à écrire Le Dernier Chant du pèlerinage d'Harold.
30 avril : Lamartine et Hugo sont décorés de la Légion d’honneur.
14 mai : Publication du Dernier Chant du pèlerinage d'Harold.
28 mai : Publication du Chant du Sacre chez Urbain Canel.
3 juillet : Lamartine est nommé secrétaire de légation à Florence.
24 septembre : Publication d’un mince recueil d’Épîtres chez Urbain Canel.
2 octobre : Les Lamartine sont arrivés à Florence.
19 février : Duel avec le colonel Pepe.
Mai-juillet : Lamartine est en congé en France pour régler la succession de son oncle Jean-Baptiste.
15 octobre : En l’absence de l’ambassadeur, Lamartine devient chargé d'affaires de France en Toscane.
Au cours de cette année, il a composé la plupart des « hymnes » qui formeront le noyau des Harmonies.
Mai-juin : En Italie, Lamartine revient à son poème des Visions, interrompu en 1824, puis l’abandonne à nouveau.
Décembre : Il achète une propriété à Florence.
24 août : Le nouvel ambassadeur étant arrivé en Toscane, Lamartine quitte Florence pour regagner la France.
Mars : Lamartine entreprend une nouvelle version des Visions, qu’il abandonne presque aussitôt.
Mai-juin : Séjour à Paris. Lamartine est fêté par la société littéraire et politique ; il rencontre Chateaubriand, se lie avec Hugo et Sainte-Beuve.
5 novembre : Il est élu à l'Académie française au premier tour.
16 novembre : Mort brutale de la mère de Lamartine. Celui-ci, qui était à Paris depuis quelques jours, regagne Mâcon.
1er avril : Lamartine est reçu à l'Académie par Cuvier.
15 juin : Publication des Harmonies poétiques et religieuses.
3 juillet : Septième édition des Nouvelles Méditations poétiques (où Lamartine publie trois fragments de ses Visions abandonnées).
27, 28 et 29 juillet : Révolution de 1830.
16 septembre : Lamartine démissionne et abandonne la carrière diplomatique.
15 décembre : Publication de l'Ode contre la peine de mort.
4 mars : Décès à Mâcon de Mrs. Birch, belle-mère de Lamartine.
Mai-juin : Séjour en Angleterre.
6 juillet : Élections législatives ; triple échec de Lamartine, à Bergues, Toulon et Mâcon.
20 juillet : Dans L'Avenir, « À Némésis », réponse au poète satirique Barthélemy.
Octobre : Publication de Sur la politique rationnelle.
Novembre : Lamartine commence à écrire Jocelyn.
21 janvier : Publication de l’ode Les Révolutions (dans le Livre des Cent-et- Un).
12 juin : Échec à l’élection législative partielle de Mâcon.
14 juin : Accompagné de Marianne et de Julia, Lamartine quitte Mâcon pour un voyage en Orient.
10 juillet : Lamartine s'embarque à Marseille sur l'Alceste.
5 septembre : Lamartine s’installe à Beyrouth.
20 octobre : Il pénètre à Jérusalem, ravagée par la peste, pour une courte visite au Saint-Sépulcre.
5 novembre : Lamartine est de retour à Beyrouth.
7 décembre : À Beyrouth, mort de Julia, âgée de dix ans et sept mois.
7 janvier : En son absence, Lamartine est élu député de Bergues (Nord).
20 avril-18 octobre : Voyage de retour avec un séjour d’un mois et demi à Constantinople.
16 décembre : Les Lamartine partent pour Paris où ils s’installent au 82 rue de l’Université.
23 décembre : Lamartine prend séance à la Chambre.
4 et 8 janvier : À la tribune de la Chambre, premier et deuxième discours de Lamartine Sur l’Orient.
15 mars : La préface Des destinées de la poésie paraît dans la Revue des Deux Mondes.
22 juin : Aux élections législatives, Lamartine est élu à Bergues et à Mâcon-ville ; il optera pour Bergues.
Début avril : Publication des Souvenirs, impressions, pensées et paysages pendant un voyage en Orient.
Pendant les vacances parlementaires, Lamartine travaille activement à Jocelyn.
23 février : Publication de Jocelyn.
Juin-décembre : Lamartine compose la moitié de La Chute d'un ange.
22 septembre : À Rome, mise à l'index du Voyage en Orient et de Jocelyn.
20 juillet-décembre : Lamartine achève La Chute d'un Ange.
4 novembre : Élections législatives. Lamartine est élu dans les deux circonscriptions de Mâcon et réélu à Bergues ; il optera pour Mâcon-ville.
9 mai : Publication de La Chute d'un ange, qui sera mise à l’index par Rome le 27 août.
Janvier : À la tribune de la Chambre, Lamartine soutient le gouvernement Molé contre la « coalition » qui lui est opposée.
2 mars : Élections législatives ; Lamartine est réélu à Mâcon-ville.
23 mars : Publication des Recueillements poétiques.
Août : Lamartine commence à écrire Les Noirs (qui deviendront Toussaint Louverture).
26 mai : À la tribune de la Chambre, discours Sur la translation des restes mortels de Napoléon.
30 août : Mort de Pierre de Lamartine, père du poète, âgé de 88 ans.
Août-septembre : Quatre articles de Lamartine sur La Question d'Orient, la Guerre, le Ministère, publiés dans Le Journal de Saône-et-Loire et largement repris dans la presse parisienne.
7 avril : Mort d'Aymon de Virieu, le plus cher ami de Lamartine depuis le collège de Belley.
1er juin : Dans la Revue des Deux Mondes, « La Marseillaise de la paix ».
26 juillet : Mort de Léon de Pierreclau, fils naturel de Lamartine.
28 décembre : Échec de Lamartine à l’élection pour la présidence de la Chambre.
15 février : À la tribune de l’Assemblée, Lamartine prend ses distances par rapport au gouvernement et commence « à parler en homme de grande opposition ».
10 juillet : Élections législatives ; Lamartine est réélu à Mâcon-ville.
13 juillet : Mort accidentelle du duc d'Orléans.
18 août : À l’Assemblée, discours de Lamartine Sur la régence, qui propose la candidature de la duchesse d’Orléans.
27 janvier : À la Chambre, discours de Lamartine Sur l’Adresse qui marque son passage officiel dans l’opposition ; il a un retentissement considérable.
Été : Graves soucis d'argent (800 000 F. de dettes !), au point que Lamartine envisage d'abandonner la politique.
12 août : Lamartine commence la rédaction de l’Histoire des Girondins qu’il espère vendre un bon prix à un libraire.
3 septembre : À Mâcon, premier numéro du journal Le Bien public, fondé par Lamartine.
21 juillet : Lamartine signe avec l’éditeur Béthune un contrat de librairie qui lui assure une somme d’au moins 500 000 F.
Août-octobre : Il voyage en Italie accompagné de Marianne, de sa sœur Cécile de Cessiat et de quatre enfants de celle-ci
Septembre : À Ischia, il reprend les Confidences, commencées en août 1843, et compose en particulier l’épisode de Graziella.
En dehors des discours qu’il prononce à la Chambre, Lamartine publie de nombreux articles politiques dans Le Bien public.
11 août : Lamartine, qui a rompu le contrat qui le liait à l’éditeur Béthune, signe avec Coquebert et Furne un nouveau contrat pour l’Histoire des Girondins.
Juin : Dernière intervention de Lamartine à la tribune de la Chambre où il ne prendra plus la parole jusqu’au 29 janvier 1848.
2 août : Élections législatives ; Lamartine est réélu député de Mâcon.
17 mars-12 juin : Publication des 6 volumes de l’Histoire des Girondins.
18 juillet : Banquet organisé par la ville de Mâcon en l'honneur de l’auteur des Girondins.
Novembre : Lamartine termine la rédaction des Confidences ; il écrit Raphaël.
23-24-25 février : Révolution de Février. Constitution d’un gouvernement provisoire où Lamartine prend les Affaires étrangères. Discours au peuple sur la proclamation de la République et sur le choix du drapeau tricolore préféré au drapeau rouge.
23-24 avril : Élections à l’Assemblée constituante ; Lamartine est élu dans dix départements avec 1 600 000 voix.
10 mai : L’Assemblée constituante remplace le gouvernement provisoire par une Commission exécutive de cinq membres, dont Lamartine.
23-26 juin : Insurrection à Paris. L’Assemblée donne les pleins pouvoirs à Cavaignac et les membres de la Commission exécutive donnent leur démission.
25 août : Lamartine publie un exposé détaillé de sa conduite depuis février, la Lettre aux dix départements.
9 octobre : La Constituante décide de confier l’élection du président de la République au suffrage universel.
Novembre : Publication de Trois mois au pouvoir, recueil des discours et allocutions prononcés par Lamartine depuis février.
10-11 décembre : Élections à la Présidence. Louis-Napoléon Bonaparte est élu avec cinq millions et demi de voix ; Lamartine en recueille 21 032.
2 janvier : Les Confidences commencent à paraître en feuilleton dans La Presse.
20 janvier : Publication de Raphaël.
18 avril : Lamartine fonde Le Conseiller du peuple, publication mensuelle qui paraîtra jusqu’au coup d’État du 2 décembre 1851.13-14 mai : Élections à l’Assemblée législative ; Lamartine, qui avait été élu par dix départements en avril 1848, n'est élu nulle part.
8 juillet : Élections complémentaires à la Législative. Lamartine est élu dans le Loiret et la Saône-et-Loire ; il optera pour le Loiret.
13 juillet : Lamartine publie son Histoire de la Révolution de 1848.
1er août : Il remercie le sultan Abd-ul-Mejid de lui avoir accordé la concession agricole en Asie Mineure qu’il avait sollicitée.
15 novembre : Lamartine commence les Nouvelles Confidences, promises à Girardin pour le feuilleton de La Presse.
17 novembre : Parution du premier volume de l'« Édition des Souscripteurs », qui rassemble en 14 volumes les œuvres choisies de Lamartine.
6 avril : Première représentation de Toussaint Louverture au théâtre de la Porte Saint-Martin.
4 mai : Fin de la publication des quatorze volumes de l’édition des Souscripteurs.
21 juin-6 août : Accompagné de Marianne, Lamartine se rend en Turquie afin de visiter le domaine de Burghas-Ova dont le Sultan lui a concédé l’exploitation.
Janvier : Première livraison des Foyers du peuple, publication périodique non politique qui paraîtra jusqu’en décembre.
8 avril : Lamartine prend la direction politique du journal Le Pays avec des appointements de 50 000 F. par an ; il y écrira de nombreux articles.
26 avril : Geneviève, histoire d’une servante.
3 mai : Le Tailleur de pierres de Saint-Point.
31 mai : Nouvelles Confidences (renfermant des fragments inédits des Visions).
24 juillet : Publication des deux premiers volumes de l'Histoire de la Restauration ; il y aura 8 volumes jusqu'en 1853.
Novembre : Le Nouveau Voyage en Orient paraît en feuilleton dans les Foyers du Peuple.
2 décembre : Coup d'État de Louis-Napoléon Bonaparte qui entraîne la disparition du Conseiller du Peuple. Lamartine cesse toute collaboration avec Le Pays.
21 février : Première édition séparée de Graziella (livres VII à X des Confidences).
20 mars : Première livraison du Civilisateur, publication non politique qui paraîtra jusqu'à la fin de 1854.
11 septembre : La concession agricole en Turquie accordée à Lamartine en 1849 est transformée en une rente annuelle de 80 000 piastres.
18 avril : Lamartine quitte son appartement du 80 de la rue de l’Université et s’installe au 43 de la rue de la Ville l’Évêque.
Juin : Le Siècle commence la publication en feuilleton de l’Histoire des Constituants.
26 novembre : Première édition séparée du poème inachevé Les Visions.
15 avril : Lamartine publie Lectures pour tous, anthologie de ses œuvres établie et éditée par lui-même.
Septembre : Publication des deux premiers volumes (sur huit à paraître) de l’Histoire de la Turquie.
16 décembre : Publication du premier des quatre volumes de l’Histoire des Constituants.
16 juin : Histoire de la Russie (2 vol.).
Mars : Première livraison du Cours familier de littérature ; il y aura un « Entretien » par mois jusqu’en 1869.
Novembre : « Le Désert » (commencé en Orient en 1832), dans le Cours familier (XIe Entretien).
Mars : « La Vigne et la Maison », dans le Cours familier (XVe Entretien).
Novembre : « Comment je suis devenu poète », dans le Cours familier (XXIIIe Entretien).
Mars : Lancement par ses amis d’une souscription nationale pour venir en aide à Lamartine qui, incapable de payer ses dettes, se trouve au bord d’un désastre financier ; elle ne donnera que de maigres résultats.
Mars : Lamartine lance, par souscription, l’édition de ses Œuvres complètes en 40 volumes, éditées par lui-même ; le premier volume paraîtra le 14 juillet.
7 décembre : Lamartine vend sa propriété de Milly pour 500 000 F.
Octobre : Dans le Cours familier de littérature, premier d’une série de six Entretiens (70e à 75e) consacrés à la « Critique de l’Histoire des Girondins ».
21 mai : Mort à Paris de Marianne de Lamartine, âgée de 72 ans.
7 novembre : publication de Fior d'Aliza.
Décembre : Fin de la publication, avec le quatrième tome des Mémoires politiques, partiellement inédits, des 40 volumes de l’édition des Œuvres complètes.
Début de la publication en feuilleton, dans Le Constitutionnel, d’une Vie de Lord Byron.
5 février : Première, à l'Opéra-Comique, de Fior d'Aliza, composition musicale tirée du roman de Lamartine.
9 février : Publication d’Antoniella, dernier ouvrage de Lamartine paru de son vivant.
15 avril : Le Corps législatif vote une « récompense nationale » accordée à Lamartine.
1er mai : Lamartine est victime d’une attaque d’apoplexie qui le prive définitivement de la plus grande partie de ses facultés intellectuelles.
4 mars : Lamartine est enseveli dans le tombeau familial de Saint-Point, aux côtés de sa mère, de sa fille et de sa femme.
Dans les années qui suivent, paraissent plusieurs œuvres posthumes : Mémoires inédits (1870), Le Manuscrit de ma mère (1871), Poésies inédites (1873), Correspondance (1873-1874).