Publication posthume des lettres
Les lettres de la marquise n’était pas destinées à la publication. Pourtant, peu après sa mort, les Mémoires de son cousin Roger de Bussy-Rabutin reproduisent quelques lettres qui provoquent une vive impression. Il faut attendre 1725 pour en lire davantage. C’est début d’une longue entreprise de publication. Sa petite-fille, Pauline de Simiane, fait couper de nombreux passages plus personnels ou galants. Au cours des siècles, originaux et copies manuscrites sont retrouvés, donnant à lire un témoignage plus fidèle de la correspondance de Madame de Sévigné.