Un visage de marbre
Acte I, scène 6
Marie Soderini, sa mère, parle ainsi de Lorenzo :
Ah ! Catherine, il n’est même plus beau ; comme une fumée malfaisante, la souillure de son cœur lui est montée au visage. Le sourire, ce doux épanouissement qui rend la jeunesse semblable aux fleurs, s’est enfui de ses joues couleur de soufre, pour y laisser grommeler une ironie ignoble et le mépris de tout.
Alfred de Musset, Lorenzaccio, 1834
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