Titre : Le Moniteur de la Lozère : journal d'annonces
Auteur : Union républicaine (France). Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Mende)
Date d'édition : 1871-05-21
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb328188053
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 21 mai 1871 21 mai 1871
Description : 1871/05/21 (A8,N21). 1871/05/21 (A8,N21).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG48 Collection numérique : BIPFPIG48
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bd6t53547593f
Source : Archives départementales de la Lozère, 1 PER 204
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 10/09/2023
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MONITEUR DE LA LOZÈRE
JOURNAL DE L'UNION RÉPUBLICAINE.
PRIX I) ABONNEMENT
Meide ; un an, 10 fr. ; six mois, 5 fr. 50 o. ; trois mois , 3 fr. ; dans
le département . un an, 11 fr. ; six mois, 6 fr. ; trois mois , 3 fr.
50 o. ; hors du département : un an , 12 fr. ; six mois , 6 fr. 50 c. ;
trois mois, 4 fr. — Chaque exemplaire séparé , 25 o.
HAVAS, rue Jean-Jacques-Rousseau , 3 , et MM. LAFFITTE ,
BULLIER et C", place de la Bourse , 8, sont seuls chargés, à Paris,
de recevoir les annonces pour le Moniteur de la Lozère.
8me année
n° 21
Dimanclie, 31 mai 1871.
PRIX DES INSERTIONS :
Annonce» judiciaires. 20 c. la ligne ; diverses , 25 c. ; réclames, 30
c. — Le prix des insertions peut être exigé à l'avance.
Les annonces ordinaires doivent être remises le jeudi avant midi. Si
les annonces sont longues ou si elles présentent des difficultés d'exé¬
cution , l'imprimeur se réserve de demander le temps qu'il jugera
nécessaire pour faire la planche.
On s'abonne: chez Mme Veuve Camille IGNON, à Mende ; DALLO,
à Marvejots ; LOMBARD, à Fiorac.
Mende, le 21 mai 1871.
LES COMBATS SOCS PARIS.
LA JOURNÉE DU 12 MAI.
Le fort de Vanves.
Pour le moment, nous ne croyons pas que
l'intérêt immédiat des opérations engagées soit
de ce côté : on comprend la réserve qui nous
défend d'entrer dans le détail des faits, qui,
dans un délai peu éloigné, quelques jours peut-
être, vont nous permettre enfin d'entrer dans
Paris.
Dans la direction de Yanves, cependant, nos
progrès sont incessants. Outre que notre artil¬
lerie a complètement éteint des batteries des
fédérés, nous avons réussi à pénétrer dans les
premières maisons du village , et nous
complétons ainsi, autour du fort de Yanves, un
investissement presque absolu, qui aura les
mêmes résultats que l'investissement du fort
d'Issy.
Les fédérés occupent toujours le couvent des
Oiseaux. Cette nuit même ils y ont installé, sur
la gauche du parc, à l'entrée de la rue Dupré,
une batterie volante, dont l'objectif paraît être
notre batteriedel'établissementd'hidrothérapie,
à Belle-vue. Quelques obus, en effet, partis de
ce point, éclataient dans cette direction, non
loin de notre position. L'un d'eux tombait
même dans la batterie, mais sans nous faire de
mal.
Yous avons déjà remarqué le peu de justesse
du tir des fédéraux ; cela tient à la bonne dis¬
position de nos batteries, en général, abritées et
cachées par d'épais bouquets d'arbres. Les fé¬
dérés ne peuvent découvrir leur position que
d'après la fumée qui s'échappe à chaque coup
de nos pièces; en outre, elles sont installées
sur des coteaux dont les insurgés ne connais¬
sent pas l'inclinaison exacte.
Le collège de Vanves est encore au pouvoir
des gardes nationaux ; néanmoins, notre mar¬
che dans le parc s'accentue, et bientôt nous
l'aurons complètement environné, ce qui for¬
cera sans doute les communeux à l'évacuer,
lorsqu'ils n'auront plus qu'une chance de sa¬
lut, la fuite.
La reddition du fort de Vanves ne fait d'ail¬
leurs plus de doute pour personne.
Le Point-dii-Jour.
L'attaque se dessine de plus en plus énergie
quement contre le Point-du-Jour.
Les batteries que les fédérés avaient établies
aux deux extrémités du pont-viaduc, pour
soutenir cette position importante, sont aujour¬
d'hui complètement réduites au silence.
Les batteries de Montretout, de Breleuil, de
Meudon et de Châtiilôn, ainsi que toutes celles
qui sont établies sur la ligne des forts du sud,
n'ont pas ralenti leur feu.
Les canonnières du Point-du-Jour, seules,
nous inquiètent encore sur ce point ; ce sont
d'ailleurs les seules pièces que les communeux
nous puissent opposer depuis Passy jusqu'à
Vaugirard. Aussi, ayant à répondre au feu
multiple de nos batteries qui rayonnent sur
tous les points de cette partie de l'enceinte,
sont-elles obligées de changer fréquemment
la direction de leur tir. Tantôt elles lancent
des obus sur Meudon, puis elles attaquent le
fort d'Issy, pour inquiéter ensuite nos batteries
de Bellevue, mais on peut être assuré que cha¬
cune de ces positions ne recevra qu'un nombre
limité de projectiles et qu'elle restera alors
tranquille pendant vingt-quatre heures.
Contrairement à ce qui a été dit, le feu du
fort d'Issy n'a pas été ouvert que ce matin,
contre le Point-du-Jour elles bastions de l'en¬
ceinte, et encore n'a-t-il duré que pendant la
matinée ; cette après-midi, le fort était complè¬
tement silencieux.
L'armée de Versailles vient d'installer une
nouvelle batterie en avant du Point-du-Jour.
Elle est située à quelques centaines de mè¬
tres du pont-viaduc, dont elle enfilera les arches
dans toute leur longueur ; aussi, pour cacher
aux insurgés les travaux que nous voulions en¬
treprendre sur ce point, avons-nous dû jeter
deux ponts sur la Seine et profiter des replis
qu'elle offre dans cette partie de son cours. Ce
matin seulement, les communeux ont aperçu
nos premières tranchées à moitié achevées et
qui seront terminées cette nuit. Ajoutons d'ail¬
leurs que, vu son rapprochement du pont,
cette batterie pourra échapper presque complè¬
tement au feu des canonnières.
Attendons-nous A la voir bientôt à l'œuvre.
La "batterie de "brèche.
On peut se rendre compte maintenant du
résultat prodigieux des batteries de Montretout.
Elles n'avaient pas pour but, comme certaines
personnes paraissent le croire, de faire une
brèche dans le rempart de Paris. A cette dis¬
tance, la tâche serait longue et difficile; d'ail¬
leurs, si l'artillerie la poursuivait, elle aurait
fait converger ses feux sur un seul point de
l'enceinte, au lieu de l'éparpiller sur une ligne
immense.
Mais on voulait, et on l'a obtenu, forcer les
communeux à déserter les remparts. La brèche
sera faite par une batterie spéciale placée à
deux ou trois cents mètres de l'enceinte, et que
nous pourrons établir sans danger, grâce à la
protecliondeMonlretout et desautres batteries
qui ont éteint les feux des insurgés. Peut-être
cette batterie est-elle complètement installée;
dans tous les cas nous nous croyons en mesure
d'affirmer qu'elle est commencée, et qu'elle
sera bientôt complètement achevée. Elle ne
comprendrait que des pièces de 12, ce qui se¬
rait parfaitement suffisant, vu le rapproche¬
ment des pièces qu'elles doivent battre.
L'entrée dans Paris ne serait donc plus
qu'une question de jours, d'heures peut-être.
Mais dans tous les cas, elle ne serait pas aussi
meurtrière qu'on aurait pu le redouter. La
guerre entrera alors dans une seconde phase,
dont les développements dépendront surtout
de la population honnête de Paris, lorsque
nous entrerons enfin dans la capitale.
Au bois de Boulogne.
La concentration des troupes régulières dans
le bois de Boulogne se poursuit; les avant-
postes se trouvaient ce matin devant la grille
du restauraurant d'Ermenonville, tandis que
de nouveaux renforts leur arrivaient de l'autre
côté de la Seine. Le pont de bateaux à Su-
resnes a été définitivement établi, et il se trouve
à la hauteur de l'ancien pont en fer, détruit
avant le siège.
Les troupes régulières occupent maintenant
tout le village de Boulogne, qui se trouve au¬
jourd'hui dans un état déplorable, car il a subi,
pendant plus de douze jours avantson évacua¬
tion, le feu des deux batteries établies dans le
parc de Saint-Cloud. La partie située du côté
du bois et à proximité de la grille a surtout été
endommagée, et très-peu de constructions sont
restées intactes.
Une reconnaissance envoyée sur les lieux,
dans la nuit, a constalé que les troupes réguliè¬
res travaillaient très-activement à établir des
tranchées de ce côté, et qu'une grande et solide
barricade protège la grille. La batterie de
Mortemart, dont les pièces, pendant le siège,
n'ont cessé d'inquiéter les Prussiens à Saint-
Cloud, est retournée centre les remparts et
destinée à prendre en écharpela porte Maillot,
abritées derriève de nouveaux et plus solides
épaulements, ont tiré avec énergie sur le bois
et sur la butte de Montretout.
De deux à quatre heures, la canonnade a
gagné en intensité; deux batteries volantes de
7, braquées sur le bastion, à la hauteur de la
porte de l'avenue Uhrich, ayant joint leur feu
aux pièces de gros calibre.
Le Mont-Yalérien a tiré alors sur l'avenue
Ubrich, et la boiserie du pont-levis a été en¬
dommagée. Quelques obus sont tombés sur la
gare.
Six heures. — La troupe régulière paraît
se porter en très-grand nombre sur les barri¬
cades de l'avenue d'Inkermann, déjà attaquées
ce matin. La lutte s'engage fort sérieusement,
et les batteries de la porte Maillot et des Ter¬
nes tirent sans relâche.
L'assaut imminent.
Les quatre divisions campées au bois de
Boulogne , du pont de Neuilly, au pont de
Saint-Cloud, sont rentrées sous la tente après
l'attaque; elles dorment le jour et font le coup
de feu la nuit. Les grosses pièces, dites de Mon¬
tretout, ne les ont pas trop troublées dans
la journée. Elles n'ont guèretiréque deoinqen
cinq minutes.
La batterie de Pozzo di Borgo ne dira son
dernier mot qu'à l'heure de l'assaut ; pour le
moment, elle balaye les remparts afin d'em¬
pêcher l'installation des pièces de la commune.
On parle partout de ce fameux assaut- Cha¬
que matin , nos troupiers disent : c'est pour
aujourd'hui, nous y allons ! Le soir : c'est pour
ce,te nuit! — Tout est prêt, on sent que le
moment est venu. Sur toute 'a ligne, ce matin,
nous entendions dire : c'est fini! Le premier
corps a passé par la porte des Ternes ! —- En
arrivant, nous trouvons le premier corps dans
ses positions de la vaille , il n'avait pas même
essayé de faire un seul pas en avant.
La division qui tient les avant-postes se for¬
tifie et s'abrite sous les feux des insurgés , nous
tirons sur leurs travaux et c'est à peine si nous
ripostons de temps en temps, à la puérile fu¬
sillade qu'ils nous prodiguent, à quinze mètres
de nos barricades.
La concentration des troupes continue avec
«rdre et rapidité.
Ce matin la division Garnier, du 5e corps
(ommandant Clinchant, est venue de Châ-
illon à YiUeDeuve-l'Evêque.
Six énormes pièces ont encore traversé le
jarc. On nous dit qu'il s'agirait d'en faire une
iatterie volante pour seconder l'assaut.
Les effets du Bombardement.
Paris, 12 mai IS7L
Le château de la Muette , à Passy , subit de¬
puis minuit un b imbardement des plus vio¬
lants et très-régulier. Ce sont les batteries de
Aontretout qui ont pris cette position pour
objectif ; leurs obus ont légèrement entamé le
parapet et causé quelques dégâts dans l'intérieur
oes appartements , mais la plupart des projec¬
tiles ont été se perdre dans les fossés et dans les
terrains, autour du château. Jusque dans la
matinée, la batterie des fédérés a tiré avec
force, surtout les mortiers servis par des
marias.
La situation de Passy devient de plus en
plus critique : beaucoup d'habitants ont dé-
ménsgé, d'autres se tiennent dans leurs caves,
épia et l'occasion de s'en aller.
Les obus tombent assez souvent sur le pont
de Grenelle, dont le passage est interdit. On
assure également que les batteries établies dans
le bois de Boulogne seraient entrées en ligne
depuis ce matin.
Lô château de MM. de Rotschild à Long-
charaps a été en butte depuis deux jours aux
projectiles des insurgés.
Il y a deux jours, un obus traversait le salon
principal du milieu, causant de grands dégâts.
Hier, une bombe incendiaire contenant du
pétrole tombait au milieu du gazon.
C'est sans doute pour remercier MM. de
Rotschild de leurs bienfaits et de leurs largesses
pendant le siège , que les insurgés cherchent
à détruire son château-
Nous affirmons tenir de source certaine un
fait qu'une époque plus croyante que la nôtre
qualifierait à bon droit de châtiment céleste.
Le premier obus lancé du Trocadéro contre
les troupes de l'ordre, alors que Oluseret com¬
mandait en chef, est allé tomber dans le cime¬
tière de Suresnes. Il a pénétré, par la corniche
gauche , dans un tombeau , et a éclaté juste
au milieu.
Ce tombeau est celui où reposait le père du
général Ciuseret.
N'avons-nous pas raison de prononcer le
mot : Châtiment céleste ?
assemrlëe nationale.
Séance du i l mai.
Après une interpellation de M. Belcastel
ayant pour but d'attaquer le gouvernement de
la République et M. Thiers, M. le Président
lit l'ordre du jour suivant :
« L'Assemblée nationale, ayant pleine con¬
fiance dans le chef du pouvoir exécutif de la
République française, passe à l'ordre du jour
(Oui ! Oui ! )
Yoix. —Les signatures 1
M. le Président. — Je lis les signatures-da.
MM. BethmoM, Aochery, aefgênTJaTaùlrës.
Yoici le second ordre du jour :
« L'Assemblée, confiante dans les déclara¬
tions de M. legarde des sceaux etle patriotisme
de M. Thiers, passe à l'ordre du jour. (Non j
non ! )
M. le Président. — Yoici un nouvel ordre
du jour :
« L'Assemblée, convaincue que le chef du
pouvoir exécutif a accompli son devoir vis-à-
vis des factieux, et continuera à l'accomplir,
passe à l'ordre du jour. » (Protestations.)
M. Thiers. — Je ne puis gouverner qu'avec
la confiance de l'Assemblée. Je demande le
premier ordre du jour. Que la Chambre se
décide.
M. Ducarre fait remarquer qu'il faut, avant
tout, observer le règlement, et que l'occasion
serait mal choisie pour témoigner sa confiance
au chef du pouvoir, en ce que ce serait une
violation du règlement.
M. Bujaure■ — J'en appelle à la loyauté de
l'Assemblée. (Applaudissements.) Nous allions
discuter une loi importante, quand s'est pro¬
duis l'interruption de M. Belcastel, faite en
des termes excellents, et à laquelle j'allais ré¬
pondre , quand M. Mortimer-Ternaux est
venu à son tour adresser une interpellation au
président du conseil, en disant qu'il continuait
l'interpellation de 31. Belcastel. La lecture du
journal lui a été permise, parce que celle-ci
faisait suite à l'interpellation.
Donc, et sans parler du grand intérêt politi¬
que qui veut que la question soit posée, le
règlement ne s'oppose pas à ce que l'ordre du
jour soit voté par la Chambre. (Très-bien ! )
M. le président. — Un dernier ordre du
jour pur et simple est proposé par MM. Dahi-
rel et Larochejacquelain (Bruit.)
M. Audrende Kerdrel. — Ce sont des
appréhensions patriotiques qui m'amènent à
cette tribune. On m'a représenté comme jouant
au chef de parti. (Jlouvement. — Sourires à
gauche.). C'est là, messieurs, ce que je tiens à
démentir ; je suis seul et je m'avance seul avec
ma conscience, dans ce que je crois être dans
le sentier du devoir. Je demande à l'honora¬
ble 31. 3Iortimer-Ternaux et à l'illustre chef
du pouvoir exécutif la permission de leur dire
toute ma pensée.
31. 3Iortimer-Ternaux a adressé sa question
sans en avoir prévenu celui qu'il entendait
interpeller. De son côté, 31. Thiers, par une
susceptibilité peut-être excessive, a cru à une
intention malveillante, à tort, sans doute.
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