Titre : L'Avenir du Tarn : journal de l'Union républicaine ["puis" journal de la République réformatrice]...
Auteur : Union républicaine (France). Auteur du texte
Auteur : République réformatrice. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Castres)
Date d'édition : 1898-07-24
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32708776z
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 24 juillet 1898 24 juillet 1898
Description : 1898/07/24 (A19,FASC5754). 1898/07/24 (A19,FASC5754).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG81 Collection numérique : BIPFPIG81
Description : Collection numérique : BIPFPIG81 Collection numérique : BIPFPIG81
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bd6t53519875b
Source : Archives départementales du Tarn, PER 203
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 20/08/2023
piv-XeuvK tnc année. — 575\ r e \« 5 ceiU
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Samedis-Dimanche 24 .Juillet 1898
JOURNAL DE LA RÉPUBLIQUE RÉFORMATRICE
PARAISSANT TOUS LES JOURS LE LUNDI EXCEPTÉ
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Tarn et départ, fimitrop. 4 fr. 3 fr lfi
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DU 31 JUILLET
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M. Alphonse Grégoire 1tr adjoint au Maire adresse aux électeurs du Canton
de Castres l'appel suivant :
lies chers concitoyens,
Lors des élections municipales du 10 mai 1896, les électeurs de la Commune de Castres m'ont honoré de
plus de 3000 suffrages. Encouragé par cette imposante manifestation et fier de vos sympathies, je viens
poser ma candidature au Conseil d'arrondissement.
Républicain de 1848, je n'ai jamais cessé de lutter pour le triomphe de la Démocratie. Vous ne trouverez
dans mon passé déjà bien long ni compromission, ni défaillance et vous n'oublierez pas que j'ai eu l'insigne
honneur d'être suspendu par un Préfet de combat, pour avoir voulu rester fidèle aux convictions de toute
ma vie.
Au point de vue politique, j'entends affirmer plus énergiquement que jamais, le vieux programme répu¬
blicain de réformes économiques et sociales, dont je me suis toujours réclamé.
Si je suis votre élu, j'émettrai le vœu que le parlement s'occupe, au plus tôt, de l'organisation de la caisse
des retraites pour les travailleurs de la ville et des champs.
Je demanderai l'abolition de la contribution foncière des portes et fenêtres, celle des côtes personnelles et
mobilières, ainsi qu'une notable diminution des patentes qui écrasent le petit commerçant.
Partisan résolu de la suppression des octrois, je me prononcerai pour la disparition immédiate de tous les
droits qui frappent si lourdement et si injustement les objets de consommation servant à l'alimentation des
classes laborieuses.
Et comme moyen de réaliser avec certitude cet ensemble de réformes, j'accepte sans hésiter, l'impôt pro¬
gressif sur le revenu établi comme en Suisse, sur la déclaration des contribuables et appliqué sagement sans
vexation arbitraire ni brutale inquisition.
Electeurs,
Pepuis plus de six ans que je suis membre du Conseil Municipal de la Commune de Castres et que je
emplis les fonctions d'adjoint au Maire, j'ai mis mon entier dévouement à défendre et à servir
VQS intérêts.
^Ussi m'assooierai-je résolument à toutes les mesures
ayun.t pour objet la levée do l'interdit, oause de ruine
^°Uî> tant de nos malheureux concitoyens et pour la
vUie elle-même.
("0rnme caution de mes promesses je vous offre ma vie passée et j'attends avec confiance votre jugemen
>ur ®es actes.
VIVE LA RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE
I Alphonse GRÉGOIRE,
1er Adjoint au Maire de Castres,
Candidat Républicain Radical-Socialiste.
FRANGE ET TURQUIE
Nous avons déjà signalé à nos lecteurs le conflit
qui s'esl élevé enlre la France et la Porte au sujet
des indemnités pour les massacres d'Arménie. On
sait que notre gouvernement a réclamé une somme
de 1,200,000 francs en faveur de nos nationaux ou
protégés, lésés par les derniers troubles d'Anatolie.
Malgré plusieurs interventions de notre ambassa¬
deur à Constantinople, le Sultan a refusé de faire
droit à notre demande. M. Delcassé a fait alors
opposition sur les sommes dues par la Banque
ottomane à la Turquie et qui constituent le dernier
terme de la contribution de guerre hellénique.
Abdul-Hamid vient d'adresser à la France et aux
deux autres puissances qui ont formulé les mêmes
prétentions — l'Italie et la Grande Bretagne —
une note dont le ton ne laisse pas d'étonner. Non
seulement le Commandeur des croyants conteste
une fois de plus le principe d'une compensation
pécuniaire, mais il use d'une .ironie singulièrement
blessante.
La note établit d'abord que les musulmans ont
eu, de leur côté, plusieurs tués et qu'ils seraient en
droit d'exiger, eux aussi, une réparation. Il est
inutile de rappeler que les Arméniens ont été
poussés à bout par les exactions et par les violences
des Kurdes et des fonctionnaires de la Porte et
qu'ils ne sauraient, à aucun titre, porter la respon¬
sabilité des événements de 1895 et 1896. Mais la
question n'est pss là. Ce n'est point pour les
Arméniens que nous venons d'intervenir, c'est pour
les missionnaires et les commerçants français ou
protégés de la France qui ont eu à souffrir des
excès des bandes indigènes. Et malgré toute sa
subtilité, le gouvernement turc n'arrivera pas à
démontrer que nos nationaux aient massacré des
bachi bouzoucks.
La noie de la Porte déclare ensuite que notre
réclamation doit s'adresser aux auteurs des trou¬
bles. Ici l'argument est comique. On ne voit guère
noire Ministre des Affaires étrangères actionner
devant le Tribunal de Trébizonde ou de Mossoul tel
ou tel bandit kurde dont le métier est de tuer ou
de piller. Quelle garantie nous offrirait, en l'espèce,
la Justice musulmane, et avec quel argentle meur¬
trier indemniserait-il ses victimes? Comment, au
milieu du soulèvement de toutes les peuplades
d'Anatolie contre les chrétiens, distinguerait-on de
préférence tèl ou tel individu ? 11 est de règle en
pareil cas que les fonctionnaires d'un Etat soi-
disant policé soient rendus responsables des désor¬
dres et de leurs effets. C'est donc bien à la Turquie,
et pour de multiples raisons, de payer. Tous les
précédents d'ailleurs, en Chine, au Japon, au
Maroc, comme dans l'Empire ottoman lui-même,
militent faveur de la thèse de la France, qui est
hors de toutes contestations.
Enfin la note invoque cet argument extraordi¬
naire que des troubles ont pu se produire dans
d'autres provinces turques a sans que le gouverne¬
ment ait été sommé d'indemniser les personnes
lésées». Ainsi Abdul Hamid s'autorise de notre
mansuétude même contre nous. Il n'y a qu'une
réponse à lui adresser : comme les faits invoqués
ne sont pas encore couverts par la prescription, il
Roqû®-
jeo<
est toujours temps d'exiger réparation
L'heure est venue d'user d'énergie vis-à-vis du
gultan. Enhardi par les victoires de Thessalie, par
le regain de son prestige dans tout l'Orient, par la
condamnable infférence des puissances dans les
affaires de Crète, il se plaît à railler. 11 vient d'ou-
d'outragerà la fois la France, l'Angleterre, l'Italie ;
il compte sur la protection de l'Allemagne pour
pouvoir fronder impunément trois grands Etals.
l.es événements peuvent lui montrer, et sans
retard, qu'il s'est abusé sur jsa force. Non seule¬
ment nos droits pécuniaires doivent être sauvegar¬
dés à Constantinople, — et ils le sont déjà défait
par l'opposition faite à la Banque ottomane, —
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M. Alphonse Grégoire 1tr adjoint au Maire adresse aux électeurs du Canton
de Castres l'appel suivant :
lies chers concitoyens,
Lors des élections municipales du 10 mai 1896, les électeurs de la Commune de Castres m'ont honoré de
plus de 3000 suffrages. Encouragé par cette imposante manifestation et fier de vos sympathies, je viens
poser ma candidature au Conseil d'arrondissement.
Républicain de 1848, je n'ai jamais cessé de lutter pour le triomphe de la Démocratie. Vous ne trouverez
dans mon passé déjà bien long ni compromission, ni défaillance et vous n'oublierez pas que j'ai eu l'insigne
honneur d'être suspendu par un Préfet de combat, pour avoir voulu rester fidèle aux convictions de toute
ma vie.
Au point de vue politique, j'entends affirmer plus énergiquement que jamais, le vieux programme répu¬
blicain de réformes économiques et sociales, dont je me suis toujours réclamé.
Si je suis votre élu, j'émettrai le vœu que le parlement s'occupe, au plus tôt, de l'organisation de la caisse
des retraites pour les travailleurs de la ville et des champs.
Je demanderai l'abolition de la contribution foncière des portes et fenêtres, celle des côtes personnelles et
mobilières, ainsi qu'une notable diminution des patentes qui écrasent le petit commerçant.
Partisan résolu de la suppression des octrois, je me prononcerai pour la disparition immédiate de tous les
droits qui frappent si lourdement et si injustement les objets de consommation servant à l'alimentation des
classes laborieuses.
Et comme moyen de réaliser avec certitude cet ensemble de réformes, j'accepte sans hésiter, l'impôt pro¬
gressif sur le revenu établi comme en Suisse, sur la déclaration des contribuables et appliqué sagement sans
vexation arbitraire ni brutale inquisition.
Electeurs,
Pepuis plus de six ans que je suis membre du Conseil Municipal de la Commune de Castres et que je
emplis les fonctions d'adjoint au Maire, j'ai mis mon entier dévouement à défendre et à servir
VQS intérêts.
^Ussi m'assooierai-je résolument à toutes les mesures
ayun.t pour objet la levée do l'interdit, oause de ruine
^°Uî> tant de nos malheureux concitoyens et pour la
vUie elle-même.
("0rnme caution de mes promesses je vous offre ma vie passée et j'attends avec confiance votre jugemen
>ur ®es actes.
VIVE LA RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE
I Alphonse GRÉGOIRE,
1er Adjoint au Maire de Castres,
Candidat Républicain Radical-Socialiste.
FRANGE ET TURQUIE
Nous avons déjà signalé à nos lecteurs le conflit
qui s'esl élevé enlre la France et la Porte au sujet
des indemnités pour les massacres d'Arménie. On
sait que notre gouvernement a réclamé une somme
de 1,200,000 francs en faveur de nos nationaux ou
protégés, lésés par les derniers troubles d'Anatolie.
Malgré plusieurs interventions de notre ambassa¬
deur à Constantinople, le Sultan a refusé de faire
droit à notre demande. M. Delcassé a fait alors
opposition sur les sommes dues par la Banque
ottomane à la Turquie et qui constituent le dernier
terme de la contribution de guerre hellénique.
Abdul-Hamid vient d'adresser à la France et aux
deux autres puissances qui ont formulé les mêmes
prétentions — l'Italie et la Grande Bretagne —
une note dont le ton ne laisse pas d'étonner. Non
seulement le Commandeur des croyants conteste
une fois de plus le principe d'une compensation
pécuniaire, mais il use d'une .ironie singulièrement
blessante.
La note établit d'abord que les musulmans ont
eu, de leur côté, plusieurs tués et qu'ils seraient en
droit d'exiger, eux aussi, une réparation. Il est
inutile de rappeler que les Arméniens ont été
poussés à bout par les exactions et par les violences
des Kurdes et des fonctionnaires de la Porte et
qu'ils ne sauraient, à aucun titre, porter la respon¬
sabilité des événements de 1895 et 1896. Mais la
question n'est pss là. Ce n'est point pour les
Arméniens que nous venons d'intervenir, c'est pour
les missionnaires et les commerçants français ou
protégés de la France qui ont eu à souffrir des
excès des bandes indigènes. Et malgré toute sa
subtilité, le gouvernement turc n'arrivera pas à
démontrer que nos nationaux aient massacré des
bachi bouzoucks.
La noie de la Porte déclare ensuite que notre
réclamation doit s'adresser aux auteurs des trou¬
bles. Ici l'argument est comique. On ne voit guère
noire Ministre des Affaires étrangères actionner
devant le Tribunal de Trébizonde ou de Mossoul tel
ou tel bandit kurde dont le métier est de tuer ou
de piller. Quelle garantie nous offrirait, en l'espèce,
la Justice musulmane, et avec quel argentle meur¬
trier indemniserait-il ses victimes? Comment, au
milieu du soulèvement de toutes les peuplades
d'Anatolie contre les chrétiens, distinguerait-on de
préférence tèl ou tel individu ? 11 est de règle en
pareil cas que les fonctionnaires d'un Etat soi-
disant policé soient rendus responsables des désor¬
dres et de leurs effets. C'est donc bien à la Turquie,
et pour de multiples raisons, de payer. Tous les
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hors de toutes contestations.
Enfin la note invoque cet argument extraordi¬
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d'autres provinces turques a sans que le gouverne¬
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ne sont pas encore couverts par la prescription, il
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gultan. Enhardi par les victoires de Thessalie, par
le regain de son prestige dans tout l'Orient, par la
condamnable infférence des puissances dans les
affaires de Crète, il se plaît à railler. 11 vient d'ou-
d'outragerà la fois la France, l'Angleterre, l'Italie ;
il compte sur la protection de l'Allemagne pour
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