Bibliothèque de l’OBVIL ( Observatoire de la vie littéraire)
Voir les documents dans GallicaDescription de la Bibliothèque
L’Observatoire de la vie littéraire (OBVIL), laboratoire d’excellence de Sorbonne Université, travaille au développement de nouvelles ressources offertes par l’informatique pour la recherche littéraire. Sa bibliothèque numérique a été constituée cette dernière décennie par des ingénieurs et des chercheurs de disciplines variées (littérature, histoire des idées, arts, philosophie…), dans une perspective de libre accès, en partenariat avec la BNF, la BLJD et l’IMEC.
Son ambition est de proposer une édition philologique savante d’un ensemble de textes qui soient accessible aux chercheurs, aux étudiants et au grand public, en vue de leur lecture et de leur exploitation. Les textes, pris en charge depuis leur retranscription jusqu’à leur balisage, ont été structurés en XML-TEI pour permettre un traitement homogène. Ils sont consultables en ligne, mais également téléchargeables dans différents formats (TXT, EPUB, HTML, TEI).
L’exploration de cette bibliothèque est complétée par un ensemble d’outils de fouille textuelle développés par l’OBVIL (textométrie, analyse sémantique, alignement textuel, etc.). Deux plateformes ont été mises en ligne pour interroger directement les corpus de la bibliothèque : OBVIE (http://obvil.huma-num.fr/obvie/) et ARIANE (http://obvil.huma-num.fr/ariane/)
Descriptions du fonds numérisé
La bibliothèque de l’OBVIL compte 17 corpus textuels établis dans le cadre de projets de recherche et dont les fonds sont en partie inédits. Elle propose en particulier un accès à la littérature secondaire, propre à éclairer la vie littéraire et les conditions de création, du XVIe siècle au XXe siècle.
Les corpus offrent des ressources variées :
• Des oeuvres d’écrivains (corpus « Apollinaire », « Góngora », « Ponge », « Sainte-Beuve ») ;
• Des correspondances (corpus « Paulhan », « Ponge ») ;
• Des ouvrages de théorie, de critique et d’histoire de la littéraire française transéculaires (corpus « Critique », « Haine du théâtre », « Mythographie ») ou centrés sur un auteur (corpus « Molière ») ;
• Des revues de critique littéraire et artistique (corpus « Mercure Galant », « Mercure de France ») ;
• Des ouvrages scolaires (corpus « École »).
Pour les fonds inédits de la correspondance de Jean Paulhan, les manuscrits scannés sont donnés en vis-à-vis du texte retranscrit.