Titre : Le Constitutionnel : journal du commerce, politique et littéraire
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1850-03-11
Contributeur : Véron, Louis (1798-1867). Rédacteur
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32747578p
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Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
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Description : 11 mars 1850 11 mars 1850
Description : 1850/03/11 (Numéro 70). 1850/03/11 (Numéro 70).
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Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2011
■LE' CONSTITUTIONNEL. LUNDI 11 MARS 1880.
clairvoyant ami : il se relève dans notre es
prit et se fait absoudre de ses petites duretés
et froideurs à son,égard par la manière dont
H parle d'elle à d'autres qu'elle^ Il ne rougit
point, je vous assure, de parler de sa ckere
vieille amie, A chaque voyage, il la trouve
comme rajeunie, et il est bien pour quelque
chose dans le miracle : .
« A soixante-tieize ans, dit-il (7 septembre
Î760), elle a le même feu qu'à vingt-trois. - Elle
ïait des couplets, les chante, se ressouvient
i de tous ceux qu'on a faits. Ayant vécu depuis
'la plus agréable époque jusqu'à celle qui est
la plus raisonneuse, elle unit les bénéfices des
deux âges sans leurs défauts, tout ce que l'un
avait d'aimable sans la vanité, tout ce que l'au
tre a de raisonnable sans la morgue. Je l'ai en
tendue discuter avec toutes sortes de gens sur tou
tes sortes de sujets, et je ne l'ai jamais trouvée en
faute. Elle rabat lessavans , redresse les disciples,
et trouve le mot pour chacun. Aussi vive d'im
pressions que Mme dé Sévigné (quel éloge dans la
bouche de Walpole ! ) , elle n'a aucune de ses
préventions , mais un goût plus universel. Avec
uiie machine des plus frêles , son énergie de
vitalité l'emporte dans un: train de vie qui me
tuerait,. s'il me fallait rester ici. Si nous reve
nons à une heure du matin' de souper à la cam
pagne, elle vous propose de s'en aller faire un
tour aux boulevards ou à la foire, parce qu'il est
de trop bonne fyeure pour se coucher. J'eus grand'
peine, la nuit dernière, de lui persuader, quoi
qu'elle ne fût pas bien, de ne pas rester debout
jusqu'à deux ou trois heures pour la comète ; car
elle avait, à cette intention, fait dire à un astro -
nome d'apporter son télescope chez le piésident
Hénault, dans l'idée que cela m'amuserait. »
' Le pauvre président Hénault, on le voit,
n'était pas mort; mais, depuis des années, il
n'en valait guère mieux, et n'était qu'une
ruine. Mme Du Delfand, jusqu'à la fin de sa
vie, resta la même, vive, infatigable, d'une
faiblesse herculéenne, comme disait Walpole.
Elle ûe dormait plus; elle avait plus que ja
mais besoin de passer sa nuit dans le monde :
« Quand cela nuira à ma santé, disait-elle,
ou que cela ne s'accordera pas avec le régi
me dés gens avec quf j'aime à vivre, je me
coucherai à minuit, s'il le faut. » Gomme le
vieux Vences'.as, elle ne voulait s'endormir
que le plus-tard possible :
« Ce quej'ôte à mes nuits, je l'ajouteàmes jours.»
Dans vin des voyages qu'il fit à Paris (août 1
1775),Walpole, au débotté, voit arriver à son
hôtel Mire Du Delfand ; elle assiste à sa toi
lette, ce qui n'a nul inconvénient, remarque-
t-elle, puisqu'elle ne voit rien. Walpole va
souper avec elle et ne la quitte qu'à deux
heures et demie dans la nuit, et le matin,
avant d'avoir les yeuxtiieu ouverts, il avait
déjà une lettre à lire de sa part. « Bref, dit-il^
soname est immortelle, et force son corps à
lui tenir compagnie. » ,
Il y a deux traditions sur Mme Du Defland,
la tradition purement française, qui nous est
arrivée à travers ceux qu'elle avait jugés si
sévèrement, à -travers les gens de lettres et
les encyclopédistes ; il y a autre chose enco
re, la tradition directe et plus vraie, plus in
time, et c'est chez Walpole qu'il faut l'aller
puiser comme à sa source. On y trouve avec
. surprise une femme ardente, passionnée,, ca
pable lie dévoûment, et même bonne. « Ah !
mon Dieu! la grande et, estimable vertu que
la bonté ! s'écrie-t-elle en un endroit. Je fais
tous les jours la résolution d'être bonne,je ne
sais si j'y fais des progrès...» Rapprochez de
cela, en contraste, un de cés mots terribles
comme elle en dit, à la manière de La
Rochefoucauld : « Il n'y a pas une seule
personne à qui on puisse confier ses pei
nes sans lui donner une maligne joie, et
sans s'avilir à ses yeux. » Eh bien ! les deux
traditions, celle qui la fait insensible, et celle
qui la montre passionnée, doivent se combi
ner pour donner une vue complète. Mais la
clé profonde de ce cœur est dans son senti
ment pour Walpole. Mme Du Delfand re
grette a un certain endroit que Walpole n'ait
pas été son fils, ce qui eût été possible à la
rigueur d'après les âges. Et, en- effet, on peut
voir dans cette soudaine passion-d'une vieil
lesse stérile une sorte de tendresse mater
nelle qui n'a jamais eu son objet, et qui tout
à coup s'éveille saris savoir son vrai nom.
Pour n'en ]_as être choqué et en saisir l'ins
tinct secret, appelez-la une tendresse d'adop
tion. Elle aime Walpole comme la plus ten
dre des mères aurait aimé un fils long-temps
perdu et tout-à-coup retrouvé. Beaucoup de
ces passions singulières et bizarres,- ou la
sensibilité s'abuse, ne sont souvent ainsi que
des revanches de la nature qui nous punit
de n'avoir pas fait les choses simples en leur
saison.
Je ne dirai rien des Lettres de Mme Du
Deffandau point de vue historique, et du jour
curieux qu'elles jettent sur la fin de Louis XV
et sur les premières années de Louis XVI. Je
ne dirai même rien,de l'esprit et du tonde
sa société qui se perpétua assez fidèlement
après elle dans le cercle dès Beauvau, et jus
que dans le salon de la princesse de Poix
sous l'Empire. Je ne veux plus que rappeler
une chose, c'est cette dernière lettre si conte
nue et ,si touchante qu'elle dicta pour Wal
pole. le fidèle secrétaire Viart, qui venait de
l'écrire, neputla relire tout liautàsa maîtresse
sans laisser éclater ses sanglots ; elle lui dit
alors ce mat si profondément triste dans son
naïf étonnement : « Vous m'aimez donc ? » La
plaie de toute'sa vie est là, incrédulité et dé
sir. Elle avait recommandé que son chien
Tonton fût envoyé à Walpole pour qu'il s'en
chargeât après elle. Le fidèle Viart, dans la
lettre où il raconte à Walpble les détails
de la maladie et de la mort, ajoute en ter
minant : « Je garderai Tonton jusqu'au dé
part de M. Thomas Walpole ; j'en ai le
plus grand soin. Il est très doux; il ne mord
personne ; il n'était méchant qu'auprès de sa
maîtresse. » Or, dans une lettre de Walpole,
datée- du 4 mai 1781, je lis ces mots : « Le
petit chien de ma pauvre chère Mme Du Def-
fand est arrivé. Elle m'avait fait promettre
d'en prendre soin la dernière fois que je la
•vis; ce que je ferai très religieusement, et je
rendrai la pauvre bête aussi heureuse que
possible. » Je n'ai pas voulu faire comme
BuKon, et oublier le chien de l'aveugle.
SAINTE-BEUVE.
Le gérant, denaiiï.
Intérêt et principal, discussion entre M. Prou-
dhon et M. Bastiat, sur l'intérêt des capitaux.
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C" 630 à la charge du fermier 12,500
7« 180 10 3,400
8" 200 à la charge ûu fermier 4,000 ,
-9* 55 idera, 1,100 "
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enchère.
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A Baycux, à M. Liégard, rue des Bouchers;
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tares, terras labourables attenant, le tout d'une con
tenance d'environ 16 hectares 60 ares, sur la mise à
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62,000 fr., et il y a été l'ait depuis des augmentations
considéi ables. " .
S'adresser, sur les lieux pour visiter et pour con
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avoué à Melun, poursuivant.
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ministère de M 8 Bonnefonds de Lavialle, commissai-
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ADMINISTRATEURS.
MM. XXFJCBTBJS (Jacques), régent de la Banque
de Frarct», président' du conseil.
ODIBB. (A.), censeur delà Banque de France,
&AFOKTD (EJ.), régent de la Banque de France.
FBH.XEB. (J.)> id. id.
PÎI.I.ET-WÏ lit, id. id.
HCTXiœrGtrxn (Henri), banquier.
BE ROTHSCHII.IS (lames), banquier.
DASSIKK (Auguste), banquier.
AHCHW5ACO.V, agent de change honoraire.
1ESTAPIS (P.-P.), ancien banquier.
X>K X>iL FASTOVSE (A.), propriétaire.
fiXAX>IAT (Jules), banquier.
ANSBE (£.), ancien banquier, propriétaire.
BELK8SSB.T (Benjamin), représentant.
LÏOR.EAU (Frédéric), négociant.
XiAIXîS (H.), administrateur honoraire.
CENSEURS.
BAVIXXXER. (Henri), manufacturier.
XJECOXKTS (G.), banquier.
CXiAUS&E, ancien notaire.
DIRECTEUR.
M. DE viita (Félii), propriétaire.
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Le chocolat iïieivieeî , par son prix
. et sa qualité, s'est placé- parmi les alimens
d'une consommation journalière; mais,
pour le mettre à la portée de tous, M. Me-
nier vient encore d'ajouter à sa fabrication
de nouveaux procèdes qui lui permettent
d'établir une sorte dite demi-fine, au prix
de 1 fr. 50 c. le 4/2 kilog.— Ce chocplat
porte son nom et son étiquette, c'est assez
dire qu'il ne laisse rien à désirer pour le
prix. Il recommande particulièrement aux
amateurs son chocolat à 3 francs,
qui ne redoute aucune comparaison.
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place de la Bourse, 10. .
bebdsmadaire de la Benrse
de Parts»
Du 2 au 9 mars 1850.
Nous avons eu cette semaine une série de bour
ses d'attente et d'incertitude. Tantôt offerts, tan
tôt demandés, les fonds publics ont varié en rai
son des renseignemens plus ou moins exacts arri
vant de la province au sujet des élections prochai
nes. Du vote qui sortira de l'urne dépend, quant à
présent, la hausse ou la baisse des fonds publics.
La question de Lyon à Avignon produira plus tard
son effet. Momentanément, elle est oubliée. 11 est
facile de prévoir l'effet que produira le triomphe
des candidats du parti det'ordre, par les oscillations
qui ont eu lieu chaque fois que les nouvelles ont
été défavorables à-ce parti. La dernière bourse in
dique suffisamment la tendance des cours en cas de
réussite, car beaucoup de vendeurs se sontempres-
sés de racheter, sur ce seul fait que le nombre des
votans au scrutin préparatoire de l'Union électorale
avait dépassé de quinze mille le chiffre précédent.
A peu de jours donc, un mouvement important,
dans un sens ou dans l'autre : c'est l'opinion gé
nérale. *
Les actions de la Banque de France ont soutenu
leurs cours ; elles ont même éprouvé une légère
amélioration, quoique les derniers relevés hebdo
madaires ne soient pas de nature à faire espérer
•un dividende élevé pour le premier semestre de
1850.
Quelques-unes des valeurs industrielles ont
donné lieu à des affaires importantes. Les por
teurs d'actions de houillères de la Chazotte, qui
connaissent parfaitement la position favorable de
cette affaire, ont dû être étonnés de les voir co
tées 287.50 vendredi dernier, lorsque le cours
précédent avait été 345. 11 paraît que ce cas prix
résulte d'une vente forcée qui a eu lieu au par
quet. La compagnie n'a pas hésité à se rendre
adjudicataire de ces titres, avec partie de ses ca
pitaux inactifs. Les actions de la société linière
Cohen et compagnie, qui avaient fléchi par une
cause à peu près semblable, se sont tout à coup
relevées çle 425 à 500; il y a eu également des de
mandes etlrne hausse de 125 fc. sur le zinc de la
Vieille-Montagne.
Les actions de chemins de fer ont été un peu
mieux tenues et restent généralement en hausse
sur les cours dé la semaine dernière. La baisse du
Nord avait été surtout produite par le bruit que
le conseil d'Etat avait repoussé le projet de tr M'é
d'après lequel cette compagnie doit se charger de
l'exécution de l'embranchement de Maubeuge, à
la condition d'obtenir une prolongation de con
cession; mais cette nouvelle était sans fondement.
Le conseil d'Etat s'est occupé cette semaine d'exa
miner le traité, et la question a été de nouveau
ajournée à Ja'seraainc prochaine, sansqu'il ait été
pris aucune décision. Les cours du Nord se sont
urf peu raffermis, mais ils ne se relèveront pas
sérieusement tant que la question n'aura pas été
résolue.
Les lignes qui ont éprouvé une hausse marquée
sont l'Orléans, le Vie.rzon et le Maiseille ; mais,
ces chemins n'ont guère donné lieu qu'à des affai
res au comptant. La spéculation devient chaque
jour plus nulle sur ces valeurs, et c'est avec raison
que las porteurs d'actions se plaignent delà dou
ble liquidatieifernensuelle qui entrave les affaires
et les rend souvept impossibles. ,
Les éventualités ont encore fléchi pendant cette
semaine. Les Bordeaiix oat Mchi de 14.25 à 13.25;
les Lyon à Avignon, de 12.50 à 11150, etlesFam-
poux ont eu un cours à 19.50.
- * FONDS PUBUCS. •
3 0/0. La rente 3 0/0 a monté de 37.43 au comp
tant, et 5/.75 à terme à 58,40, elle reste à 58.15 au
comptant, e à 53.40 à terme.
5 0/0. La rente 5 0/0 a monté de 95.20 à f 6.50, on
a détaché le coupon à 93.65 au comptant, et à 93.90
à terme, on a fait 94.'40 et l'on reste à 93.90 au comp
tant, -et à 94.10 à terme.
Les primes pour fin courant ont varié sur le 5 0/0
de 95.55 a 97, dont 2 fr., dè 96.05 à 97.35, dont 1 fr.,
et de 96.70 à 97.45, dont 50; et sur le 3 0/0, de 58.
40 à 58.80, dont 1 fr.. et de 58.35 à £9, dont 50.
Les reports pour fin prochain ont varié sur le 5 0/0
de 25 à 15 c. ; et sur le 3 0/0, de 20 à. 10 c. . -
ACTIONS DB LA. BANQUE.— VALEURS DIVERSES-
Les actions de la Banque ont varié de 2,280 à 2, 95,
et elles resteiit à 2,290.
Les Quatre-Canaux ont varié de 1,098.75 à 1,100, ■
et ils restent à 1,100.
Les jouissances des Quatre-Canaux ont varié de
72,50 à 70 et ont repris à 72.50. .
Le canal de Bourgogne a varié de 960 à 9.17.50.
Les anciennes obligations de la Ville d^s Paris ont
fait 1,287.50 et 1,285.
Les nouvelles obligations ont varié de 1,170 à 1,175,
et elles restent à 1,170.
Les obligations de la Seine ont fait 1,075 et f;080,
et restent a 1,077.50.
La caisse hypothécaire a varié de 15» à 125.
Les actions ae la Vieille-Montagne ont monté de
2,850 à 2,925, et les cinquièmes d'actions ont fait 580.
Les hauts-fourneaux de Monceaux ont fuit 1,500.
Le lin Maberly a fait 505 et est tombé à 495.
JLes actions de la société linière Cohin eteomp. ont
monté de 450 à 500. > -
Les houillères de la Chazotte ont fait 287.50.
Les lits militaires ont été cotés à 915.
'Les obligations àncieunes de Saint-Germain ont re
paru sur la
fait 905.
paru sur Ta cote à 905 et 910, et les nouvelles ont
Les obligations nouvelles d6 Versailles ont fait 830.
Les nouvelles obligations d'Orléans se tiennent à
990. '
Les' nouvelles de Rouen ont fait 920, et les an
ciennes 790. '
Les nouvelles du Havre se tiennent â 793, coupon
détaché. - . ,
Les obligations de Marseille à Avignon ont varié
de 1,020 à 1,025.
CHEMINS DB FER.
Les actions de Paris à [Saint-Germain ont eu un
cours à 405.
Paris à Versailles (Rive droite) a fléchi de 196.25
à 190.
La Rive gauche a varié de 170 à 165.
Paris à Orléans a repris de 7G3 à 785, et reste à 780.
• Paris à Rouen a varié de 551.25 à 547.50, et reste à
550.
Rouen au Hayre a fait pendant toute la semaine
210 et 241.25.
Marseille à Avignon a monté de 195 à 212.50, et
reste à 207.50. ' r
Orléans à yierzon a monté de 313.75 à 327.50, et
reste à 327.50.
Orléans à Bordeaux a varié de 405 à 406.25.
Le Nord a repris de 441.25 à 452.50, et reste à
448.75.
Paris à Strasbourg a varié de 347.50 à 350, et reste
à 348.75.
Tjours à Nautes a monté de 248.75 à 253.75, et reste
à 251.25. ,
Montereau à Troyes a monté de 105 à 110.
On a coté aussi les actions'de Dieppe et Féeamp
i 173.
FONT S ETRANGERS.
' Belgique. Le 5 0/0 de 1830 a monté de 98 à 98 3/4,
et reste à 98 5/8. '
— Le 5 o/o de 1842 a monté de 98 à 98 3/4.
— Le 2 t/2 0/0 a fléchi de 50 1/2 à 50.
— La Banque de 1835 a monté de 885 à
890. «
Espagne. La passive a fléchi de 1/4 à 3 1/2.
— La 3 0/0 extérieur s'est tenu à 37.
— La dette intérieure a repris de 28 3/4 -à
29 1/8, et reste à 29.
Italie. ^ Les ducats de Napies ont fléchi de 91.50
à 91.23, et ont repris à 92.
— L'ancien emprunt romain a monté de
. 79 â 79 1/8.
1 — Le nouvel emprunt a fléchi de 79 5/8 à
78 3/8, o! reste à 78 b/S.
— . Le 5 0/0 piémoutais a monté de 80.75 â
87.90 au comptant, età S8.03 à terme.
— Les anciennes obligations du Piémont
ont monté de 972.50 il 975.
— Les nouvelles obligations ont monté de
957.50 à 960.
Haïti.
Hollande.
Grèce.
Rossie
L'emprunt a fléchi de 185 à 180.
Le 2 1/2 0/0 a monté de 56 à 57 3/4, et
reste à 57 1/2. ,\
L'emprunt grec-français a repris de 87
à 89.
Le 4 1/2 0/0 a monté de 94 1/2 à 95.
BOURSE DE LONDRIiS. — 9 mars. — Les consoli
dés au comptant et pour le 13 mars, ouverts à 96
1/4, ont fermé à 95 7/8 96, sous l'influence, dit-on,
de la note adressée par la Russie à notre cabinet.—
Dette active d'Espagns 17 1/2; 3 0/0 d° 36 1/4. —
Nord 13 1/2 3/4. »
BOURSE D'AMSTERDAM. — 8 mars. — Intégr. 2
21 /2 0/0 55 3/4. 5 0/0 d'Esp. 11 3/8.
BOURSE DE BERLIN. — 7 mars. — 5 0/0 105 3/4
papier, 10S 1/A argeijt; 3 t/2 0/0 88 papier.
BOURSE DE VIENNE. — 5 mars. — 5 0/0 94 ; 4 1/2
0/0 82 3/4.
BOURSE DE MADRID. — 5 mars. — 3 0/0 28 1/2 au
comptant; 4 0jO 12 1/2 papier; 5 0/0 125/S papier.'
Banque de Saint-Ferdinand 81 1/2 valeur, 82 pa
pier.—Changes : Londres à 90 jours 50.20;'Paris à
8 jours 5.31 argent.
FEUILLE DE COMMERCE.
PARIS 10 ma.rs.
HALLE AUX BLÉS du 9 mars.
La mévente continue et les cours né se soutien
nent que très faiblement.
La boulangerie, bien approvisionnée en général,
n'achète que pour ses besoins immédiats.
Le restant à vendre à la halle augmente chaque
jour, il a dépasfé 24,000 quintaux.
'' Lé çours-moyeu de. taxe reste dans les iimiles du
pain à 27 e, le kil. et îL est nrêsumabie que ce prix
sera encore celui de la proehaine. taxation.
En grains, il ne s'est rien fait d'important.
Arrivages 427 qx 04 kil.
Ventes 414 48
Restant 24.390 22
Cours moyen du jour, 27 62
Cours-taxe de quinzaine, 27 5S
DÉCÈS ET INHUMATIONS.
Du 8 mars.
M. Marigner, 80 ans, rue de Rivoli, l4.—Mme Cu«
chat, 48 ans, rue de la Corderie-Saint-Honoré, 4.—
Mme V'ilacèqueJ 45 ans, rue Neuve-des-Petits-Champs,
7.— M. Bellefin, 84 ans, faubourg Poissonnière, 30.
—Mlle Huet, 14 ans, rue aux Fers, 28.—M. Rer.que-
rel, 76 ans, rue Fontaine-au-Hoi, 9. — MmeMouray,
46 ans, rue du Temple, 63.— Mme Duhamel, 42 ans,
cité Boufflers, 5. — Mlle Aubeutin, 22 ans, rue de la
Roquette, 61. — M. Lefèvre, 68 ans, impasse Guémé-
née, X — Mme Julien, 75 ans, rue Saint Louis, 79.—
M. Roumieux, 65 ans, rue Saint-Dominique, 158.—
M. Inard, 75 ans, quai Malaquais, 17.—Mme Bailfy,
84 ans, rue d'Enfer, 63.
SPECTACLES DU 11 MARS.
Opéra— Le Prophète. ■
Français— Polveucte, le Moineau de Leshie.
O .-Comique—Les Porcherons.
Italiens— '
Odéon—Lz Sicilien, François le Champi.
Historique —Louise de Yaulcroix.
Vaudaville— Un Ami, 4 N« de la Foire aux idées, la
Dame do Trèfle. - »
Variétés—Le Provincial,les 4Filles Aymon.la Mariée,
l'Homme blàsè, l'Humoriste.
Gymnase—Mlle de Liron, le Coup d'état, les Bijoux.
Montansier—he Voyage, J'ai mangé, les Amans ma
gnifiques, 2 Vieux Papillons, Embrassons-nous.
P.-St-Mart : n— Jocko, Camille Desmoulina,
Galté— Le Pied de mouton.
Amhif/u —l.es 4 l'ils Aymyn.
Ctrijue —Bonaparte.
ïohes —Les Martyrs, iMaricbe.
Ih uscre/ —Lf'Ver luisant.
(Au = U'-t*,leChién,la Mirliton, Jocrisse.
bixer/ilioury—L. Ile enchantce.
Ronert llowhn —Soirée fantastique.
Salle Bonne-Nouvelle— Magnétisme, chant,, danse,gtc.
Imprime par B onifacb , rue des Bons-En'ans, 19.
clairvoyant ami : il se relève dans notre es
prit et se fait absoudre de ses petites duretés
et froideurs à son,égard par la manière dont
H parle d'elle à d'autres qu'elle^ Il ne rougit
point, je vous assure, de parler de sa ckere
vieille amie, A chaque voyage, il la trouve
comme rajeunie, et il est bien pour quelque
chose dans le miracle : .
« A soixante-tieize ans, dit-il (7 septembre
Î760), elle a le même feu qu'à vingt-trois. - Elle
ïait des couplets, les chante, se ressouvient
i de tous ceux qu'on a faits. Ayant vécu depuis
'la plus agréable époque jusqu'à celle qui est
la plus raisonneuse, elle unit les bénéfices des
deux âges sans leurs défauts, tout ce que l'un
avait d'aimable sans la vanité, tout ce que l'au
tre a de raisonnable sans la morgue. Je l'ai en
tendue discuter avec toutes sortes de gens sur tou
tes sortes de sujets, et je ne l'ai jamais trouvée en
faute. Elle rabat lessavans , redresse les disciples,
et trouve le mot pour chacun. Aussi vive d'im
pressions que Mme dé Sévigné (quel éloge dans la
bouche de Walpole ! ) , elle n'a aucune de ses
préventions , mais un goût plus universel. Avec
uiie machine des plus frêles , son énergie de
vitalité l'emporte dans un: train de vie qui me
tuerait,. s'il me fallait rester ici. Si nous reve
nons à une heure du matin' de souper à la cam
pagne, elle vous propose de s'en aller faire un
tour aux boulevards ou à la foire, parce qu'il est
de trop bonne fyeure pour se coucher. J'eus grand'
peine, la nuit dernière, de lui persuader, quoi
qu'elle ne fût pas bien, de ne pas rester debout
jusqu'à deux ou trois heures pour la comète ; car
elle avait, à cette intention, fait dire à un astro -
nome d'apporter son télescope chez le piésident
Hénault, dans l'idée que cela m'amuserait. »
' Le pauvre président Hénault, on le voit,
n'était pas mort; mais, depuis des années, il
n'en valait guère mieux, et n'était qu'une
ruine. Mme Du Delfand, jusqu'à la fin de sa
vie, resta la même, vive, infatigable, d'une
faiblesse herculéenne, comme disait Walpole.
Elle ûe dormait plus; elle avait plus que ja
mais besoin de passer sa nuit dans le monde :
« Quand cela nuira à ma santé, disait-elle,
ou que cela ne s'accordera pas avec le régi
me dés gens avec quf j'aime à vivre, je me
coucherai à minuit, s'il le faut. » Gomme le
vieux Vences'.as, elle ne voulait s'endormir
que le plus-tard possible :
« Ce quej'ôte à mes nuits, je l'ajouteàmes jours.»
Dans vin des voyages qu'il fit à Paris (août 1
1775),Walpole, au débotté, voit arriver à son
hôtel Mire Du Delfand ; elle assiste à sa toi
lette, ce qui n'a nul inconvénient, remarque-
t-elle, puisqu'elle ne voit rien. Walpole va
souper avec elle et ne la quitte qu'à deux
heures et demie dans la nuit, et le matin,
avant d'avoir les yeuxtiieu ouverts, il avait
déjà une lettre à lire de sa part. « Bref, dit-il^
soname est immortelle, et force son corps à
lui tenir compagnie. » ,
Il y a deux traditions sur Mme Du Defland,
la tradition purement française, qui nous est
arrivée à travers ceux qu'elle avait jugés si
sévèrement, à -travers les gens de lettres et
les encyclopédistes ; il y a autre chose enco
re, la tradition directe et plus vraie, plus in
time, et c'est chez Walpole qu'il faut l'aller
puiser comme à sa source. On y trouve avec
. surprise une femme ardente, passionnée,, ca
pable lie dévoûment, et même bonne. « Ah !
mon Dieu! la grande et, estimable vertu que
la bonté ! s'écrie-t-elle en un endroit. Je fais
tous les jours la résolution d'être bonne,je ne
sais si j'y fais des progrès...» Rapprochez de
cela, en contraste, un de cés mots terribles
comme elle en dit, à la manière de La
Rochefoucauld : « Il n'y a pas une seule
personne à qui on puisse confier ses pei
nes sans lui donner une maligne joie, et
sans s'avilir à ses yeux. » Eh bien ! les deux
traditions, celle qui la fait insensible, et celle
qui la montre passionnée, doivent se combi
ner pour donner une vue complète. Mais la
clé profonde de ce cœur est dans son senti
ment pour Walpole. Mme Du Delfand re
grette a un certain endroit que Walpole n'ait
pas été son fils, ce qui eût été possible à la
rigueur d'après les âges. Et, en- effet, on peut
voir dans cette soudaine passion-d'une vieil
lesse stérile une sorte de tendresse mater
nelle qui n'a jamais eu son objet, et qui tout
à coup s'éveille saris savoir son vrai nom.
Pour n'en ]_as être choqué et en saisir l'ins
tinct secret, appelez-la une tendresse d'adop
tion. Elle aime Walpole comme la plus ten
dre des mères aurait aimé un fils long-temps
perdu et tout-à-coup retrouvé. Beaucoup de
ces passions singulières et bizarres,- ou la
sensibilité s'abuse, ne sont souvent ainsi que
des revanches de la nature qui nous punit
de n'avoir pas fait les choses simples en leur
saison.
Je ne dirai rien des Lettres de Mme Du
Deffandau point de vue historique, et du jour
curieux qu'elles jettent sur la fin de Louis XV
et sur les premières années de Louis XVI. Je
ne dirai même rien,de l'esprit et du tonde
sa société qui se perpétua assez fidèlement
après elle dans le cercle dès Beauvau, et jus
que dans le salon de la princesse de Poix
sous l'Empire. Je ne veux plus que rappeler
une chose, c'est cette dernière lettre si conte
nue et ,si touchante qu'elle dicta pour Wal
pole. le fidèle secrétaire Viart, qui venait de
l'écrire, neputla relire tout liautàsa maîtresse
sans laisser éclater ses sanglots ; elle lui dit
alors ce mat si profondément triste dans son
naïf étonnement : « Vous m'aimez donc ? » La
plaie de toute'sa vie est là, incrédulité et dé
sir. Elle avait recommandé que son chien
Tonton fût envoyé à Walpole pour qu'il s'en
chargeât après elle. Le fidèle Viart, dans la
lettre où il raconte à Walpble les détails
de la maladie et de la mort, ajoute en ter
minant : « Je garderai Tonton jusqu'au dé
part de M. Thomas Walpole ; j'en ai le
plus grand soin. Il est très doux; il ne mord
personne ; il n'était méchant qu'auprès de sa
maîtresse. » Or, dans une lettre de Walpole,
datée- du 4 mai 1781, je lis ces mots : « Le
petit chien de ma pauvre chère Mme Du Def-
fand est arrivé. Elle m'avait fait promettre
d'en prendre soin la dernière fois que je la
•vis; ce que je ferai très religieusement, et je
rendrai la pauvre bête aussi heureuse que
possible. » Je n'ai pas voulu faire comme
BuKon, et oublier le chien de l'aveugle.
SAINTE-BEUVE.
Le gérant, denaiiï.
Intérêt et principal, discussion entre M. Prou-
dhon et M. Bastiat, sur l'intérêt des capitaux.
Nouvelle édit. revue et augmentée d'un épilogue.
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téressante sur le traitement de ces maladies.
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Etude de 51» Boncompagne, avoue à Paris, rue Vi-
vienne, 10.
Vente en l'audience des criées de la Seine, le sa
medi 16 mars 1830,
D'une maison sise à Paris, rue Royer-Collard, 22
ancien et 28 nouveau, à l'angle de la rue d'Enfer,
sur laquelle elle porto le n» 15. ■
Cette maison est placée en face d'une dos entrées
principales du Luxembourg ^rqu 'elle domine dans
toute son étendue.
. Revenu net .. 5,100 fr.
Mise à prix 50,000 fr.
S'adresêer pour les renseignemens :
1° AM C Boncompagne, avoué poursuivant la vente,
dépositaire d'une copie du cahier des charges et des
titres de propriété, demeurant à P'aris, rue Vivieu-
ne, 10;
2° A M. Warin, propriétaire, rue Saint-Hyacin
the-Saint-Michel, 31.
PMMfÉTÊ Saint-Germain. ,4 PARIS.
' Vente par suite de surenchère, le 21 mars 1850,
en l'audience des saisies du trbunal de la Seine,
D'une grande propriété sise à Paris, rue Saint-
Dominique ^Saint-Germain, 170 (ancien 194), et rue
de l'Unmrsitî, 163 (ancien 185), et composée de
maisons, constructions et terrain, et d'une superfi
cie de 5,025 mètres 74 centimètres environ.
Revenu.. ..... 8,345 fr.
Mise à prix..... 59,560
S'adresser à M» Aviat, avoué, rue Rougemont, 6,
dépositaire des plans, titres de propriété et copie
de l'enchère ;
Et à M" Boudin, Picard et Guédon, avoués à
Paris ;
Et pour voir la propriété, au concierge de la mai
son, tue Saint-Dominique-Saint-Germain, 170.
IttÂISOFJ »ECAMPAGtT$EW.ES
A vendre une maisoii de campagne dans une très
belle position, à Sèvres, place Nationale, 5, en face
la grille du parc de Sain-Cloud, ayant vue' sur le
parc et sur la vallée de la Seine.
S'adresser à M" Lejeune, notaire à paris, rue Le-
pelletier, 29. «
BIENS RDIIAUX = CALVADOS.
Adjudication en la chambre des notaires de Paris,
par le ministère de M* Aubry, le mardi 9 avril 1850,
a midi, en neuf lots, de biens ruraux sis communes
de Grandcamp, Saint-Germain-Dupert, Osmanville et
Isigny, arrondissement de Baveux (Calvados).
Commune de Grandcamp :
1 er lot. Terre et ferme du lieu Ragot, composée de
maison et Mtimensd'exploitation,cours, jardin, her
bages, prés et terres labourables, contenant 14 hect.
75 ares 32 centiares.
Commune de Saint-Germain-Dupert:
2 e 1.1. Pré des Douze-Vergées, 2 h. 46 a. 80 cou t.
3 e lot. Pré des Grands Roseaux du Haut et des
Grands Roseaux du Milieu, 3 h. 37 a. 70 cent.
4» lot. Herbages des 1™ et 3° Folie, 7 h. 60 a. 60 c.
5 e jot Prés des Bessolsts, 3 hect. 79 a. 10 cent.
6 e lot. Pré des Longchatnps, 4 h. 43 a. 60 cent.
■ 7 e lot. Herbages des Cascou'és ou Cacaux, 2 hëct,
12 ares 60 centiares.
Commune d'Osmanville :
. 8« lot. Pré do la Logo des Vallées ou Tourniolles,
1 hectare 43 ares 30 centiares.
• Commune d'Isignv i
, 9 e lot. Pré de la Fosse, 18 ares 30 centiares.
L'>ts. Produits. Impôts. Mises à prix.
1" 1,400 fr. lolfr. 25,000 fr.
2» 370 31 6,500
3* 600 42 11,000
4» 000 88 14,000
5 B 845 année commune 48 15,500
C" 630 à la charge du fermier 12,500
7« 180 10 3,400
8" 200 à la charge ûu fermier 4,000 ,
-9* 55 idera, 1,100 "
L'adjudication sera prononcée même sur uneseulo
enchère.
S'adresser, pour les renseignemens :
A Baycux, à M. Liégard, rue des Bouchers;
Et à Paris, à M» Aubry, notaire, boulevard des
Italiens, n° 27, dépositaire du cahier des charges et
des titres de propriété.
mm m la mmm.
Etude de M e Cadilhac, avoué à Melun.
.A vendre, à l'audience des criées du tribunal de
Melun (Seine-et-Marne), le jeudi 21 mat's 1550, à une
heure, le joli domaine de La Planche, situé sur la
commune de Perthes, canton sud'de Melun, compo
sé,do maison de maître, communs, bàtimens d'ex
ploitation, potager, parc bien planté d'environ 4 hec
tares, terras labourables attenant, le tout d'une con
tenance d'environ 16 hectares 60 ares, sur la mise à
prix do 30,000 fr.
Cette propriété a été achetée, en janvier 1846,
62,000 fr., et il y a été l'ait depuis des augmentations
considéi ables. " .
S'adresser, sur les lieux pour visiter et pour con
naître les conditions de la vente, à M c Cordillac,
avoué à Melun, poursuivant.
VENTE D'OBJETS D'ART,
De curiosités, meubles de style gothique, renaissance
et Louis XIV, armes etarmures t faiences Délia Rob-
bia, Bernard Palissy, dorures, bronzés, tableaux et
dessins, etc., etc., qui composent le cabinet et le mo
bilier de feu M. Irisson, auxquels on a jpint le cabi
net d'armes et armures de M. le comte de ***, dont
la vente aura lieu les jeudi 14, vendredi 15 efsamedi
16 mars 1850, heure de midi, rue d'Antin, 10, par le
ministère de M 8 Bonnefonds de Lavialle, commissai-
re-priseur, rue de Choiscul, 11, assisté de M. Rous
sel, pour les curiosités, et de M. Defer, pour les ta
bleaux, dessins et gravures, lesquels seront vendus
le mercredi 20 mars.
Exposition publique les mardi 12 et mercredi 13
mars 1850, de midi a 4 heures. »
™te de î mitres.
Un bon coupé.anglais bas et un cebriolet à quatre
roues, en la cour-de l'hôte! des ventes mobilières,
place de la Bourse, n° 2, mercredi 13 mars 1850, à 3
heures, par M» Frosmont, commissaire-priseur, rue
do la Convention, 10. - _• " '
T 4 fî I n\- Aujourd'hui lundi, 11 mars, et
• I iiIsLij /IU A.' mardi, 12, à la salle des ventas,
rue des Jeûneurs, sera vendue la collection de
M. H. de Bruxelles.
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^18,^ rue Guénégaud.
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MM. XXFJCBTBJS (Jacques), régent de la Banque
de Frarct», président' du conseil.
ODIBB. (A.), censeur delà Banque de France,
&AFOKTD (EJ.), régent de la Banque de France.
FBH.XEB. (J.)> id. id.
PÎI.I.ET-WÏ lit, id. id.
HCTXiœrGtrxn (Henri), banquier.
BE ROTHSCHII.IS (lames), banquier.
DASSIKK (Auguste), banquier.
AHCHW5ACO.V, agent de change honoraire.
1ESTAPIS (P.-P.), ancien banquier.
X>K X>iL FASTOVSE (A.), propriétaire.
fiXAX>IAT (Jules), banquier.
ANSBE (£.), ancien banquier, propriétaire.
BELK8SSB.T (Benjamin), représentant.
LÏOR.EAU (Frédéric), négociant.
XiAIXîS (H.), administrateur honoraire.
CENSEURS.
BAVIXXXER. (Henri), manufacturier.
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porte son nom et son étiquette, c'est assez
dire qu'il ne laisse rien à désirer pour le
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bebdsmadaire de la Benrse
de Parts»
Du 2 au 9 mars 1850.
Nous avons eu cette semaine une série de bour
ses d'attente et d'incertitude. Tantôt offerts, tan
tôt demandés, les fonds publics ont varié en rai
son des renseignemens plus ou moins exacts arri
vant de la province au sujet des élections prochai
nes. Du vote qui sortira de l'urne dépend, quant à
présent, la hausse ou la baisse des fonds publics.
La question de Lyon à Avignon produira plus tard
son effet. Momentanément, elle est oubliée. 11 est
facile de prévoir l'effet que produira le triomphe
des candidats du parti det'ordre, par les oscillations
qui ont eu lieu chaque fois que les nouvelles ont
été défavorables à-ce parti. La dernière bourse in
dique suffisamment la tendance des cours en cas de
réussite, car beaucoup de vendeurs se sontempres-
sés de racheter, sur ce seul fait que le nombre des
votans au scrutin préparatoire de l'Union électorale
avait dépassé de quinze mille le chiffre précédent.
A peu de jours donc, un mouvement important,
dans un sens ou dans l'autre : c'est l'opinion gé
nérale. *
Les actions de la Banque de France ont soutenu
leurs cours ; elles ont même éprouvé une légère
amélioration, quoique les derniers relevés hebdo
madaires ne soient pas de nature à faire espérer
•un dividende élevé pour le premier semestre de
1850.
Quelques-unes des valeurs industrielles ont
donné lieu à des affaires importantes. Les por
teurs d'actions de houillères de la Chazotte, qui
connaissent parfaitement la position favorable de
cette affaire, ont dû être étonnés de les voir co
tées 287.50 vendredi dernier, lorsque le cours
précédent avait été 345. 11 paraît que ce cas prix
résulte d'une vente forcée qui a eu lieu au par
quet. La compagnie n'a pas hésité à se rendre
adjudicataire de ces titres, avec partie de ses ca
pitaux inactifs. Les actions de la société linière
Cohen et compagnie, qui avaient fléchi par une
cause à peu près semblable, se sont tout à coup
relevées çle 425 à 500; il y a eu également des de
mandes etlrne hausse de 125 fc. sur le zinc de la
Vieille-Montagne.
Les actions de chemins de fer ont été un peu
mieux tenues et restent généralement en hausse
sur les cours dé la semaine dernière. La baisse du
Nord avait été surtout produite par le bruit que
le conseil d'Etat avait repoussé le projet de tr M'é
d'après lequel cette compagnie doit se charger de
l'exécution de l'embranchement de Maubeuge, à
la condition d'obtenir une prolongation de con
cession; mais cette nouvelle était sans fondement.
Le conseil d'Etat s'est occupé cette semaine d'exa
miner le traité, et la question a été de nouveau
ajournée à Ja'seraainc prochaine, sansqu'il ait été
pris aucune décision. Les cours du Nord se sont
urf peu raffermis, mais ils ne se relèveront pas
sérieusement tant que la question n'aura pas été
résolue.
Les lignes qui ont éprouvé une hausse marquée
sont l'Orléans, le Vie.rzon et le Maiseille ; mais,
ces chemins n'ont guère donné lieu qu'à des affai
res au comptant. La spéculation devient chaque
jour plus nulle sur ces valeurs, et c'est avec raison
que las porteurs d'actions se plaignent delà dou
ble liquidatieifernensuelle qui entrave les affaires
et les rend souvept impossibles. ,
Les éventualités ont encore fléchi pendant cette
semaine. Les Bordeaiix oat Mchi de 14.25 à 13.25;
les Lyon à Avignon, de 12.50 à 11150, etlesFam-
poux ont eu un cours à 19.50.
- * FONDS PUBUCS. •
3 0/0. La rente 3 0/0 a monté de 37.43 au comp
tant, et 5/.75 à terme à 58,40, elle reste à 58.15 au
comptant, e à 53.40 à terme.
5 0/0. La rente 5 0/0 a monté de 95.20 à f 6.50, on
a détaché le coupon à 93.65 au comptant, et à 93.90
à terme, on a fait 94.'40 et l'on reste à 93.90 au comp
tant, -et à 94.10 à terme.
Les primes pour fin courant ont varié sur le 5 0/0
de 95.55 a 97, dont 2 fr., dè 96.05 à 97.35, dont 1 fr.,
et de 96.70 à 97.45, dont 50; et sur le 3 0/0, de 58.
40 à 58.80, dont 1 fr.. et de 58.35 à £9, dont 50.
Les reports pour fin prochain ont varié sur le 5 0/0
de 25 à 15 c. ; et sur le 3 0/0, de 20 à. 10 c. . -
ACTIONS DB LA. BANQUE.— VALEURS DIVERSES-
Les actions de la Banque ont varié de 2,280 à 2, 95,
et elles resteiit à 2,290.
Les Quatre-Canaux ont varié de 1,098.75 à 1,100, ■
et ils restent à 1,100.
Les jouissances des Quatre-Canaux ont varié de
72,50 à 70 et ont repris à 72.50. .
Le canal de Bourgogne a varié de 960 à 9.17.50.
Les anciennes obligations de la Ville d^s Paris ont
fait 1,287.50 et 1,285.
Les nouvelles obligations ont varié de 1,170 à 1,175,
et elles restent à 1,170.
Les obligations de la Seine ont fait 1,075 et f;080,
et restent a 1,077.50.
La caisse hypothécaire a varié de 15» à 125.
Les actions ae la Vieille-Montagne ont monté de
2,850 à 2,925, et les cinquièmes d'actions ont fait 580.
Les hauts-fourneaux de Monceaux ont fuit 1,500.
Le lin Maberly a fait 505 et est tombé à 495.
JLes actions de la société linière Cohin eteomp. ont
monté de 450 à 500. > -
Les houillères de la Chazotte ont fait 287.50.
Les lits militaires ont été cotés à 915.
'Les obligations àncieunes de Saint-Germain ont re
paru sur la
fait 905.
paru sur Ta cote à 905 et 910, et les nouvelles ont
Les obligations nouvelles d6 Versailles ont fait 830.
Les nouvelles obligations d'Orléans se tiennent à
990. '
Les' nouvelles de Rouen ont fait 920, et les an
ciennes 790. '
Les nouvelles du Havre se tiennent â 793, coupon
détaché. - . ,
Les obligations de Marseille à Avignon ont varié
de 1,020 à 1,025.
CHEMINS DB FER.
Les actions de Paris à [Saint-Germain ont eu un
cours à 405.
Paris à Versailles (Rive droite) a fléchi de 196.25
à 190.
La Rive gauche a varié de 170 à 165.
Paris à Orléans a repris de 7G3 à 785, et reste à 780.
• Paris à Rouen a varié de 551.25 à 547.50, et reste à
550.
Rouen au Hayre a fait pendant toute la semaine
210 et 241.25.
Marseille à Avignon a monté de 195 à 212.50, et
reste à 207.50. ' r
Orléans à yierzon a monté de 313.75 à 327.50, et
reste à 327.50.
Orléans à Bordeaux a varié de 405 à 406.25.
Le Nord a repris de 441.25 à 452.50, et reste à
448.75.
Paris à Strasbourg a varié de 347.50 à 350, et reste
à 348.75.
Tjours à Nautes a monté de 248.75 à 253.75, et reste
à 251.25. ,
Montereau à Troyes a monté de 105 à 110.
On a coté aussi les actions'de Dieppe et Féeamp
i 173.
FONT S ETRANGERS.
' Belgique. Le 5 0/0 de 1830 a monté de 98 à 98 3/4,
et reste à 98 5/8. '
— Le 5 o/o de 1842 a monté de 98 à 98 3/4.
— Le 2 t/2 0/0 a fléchi de 50 1/2 à 50.
— La Banque de 1835 a monté de 885 à
890. «
Espagne. La passive a fléchi de 1/4 à 3 1/2.
— La 3 0/0 extérieur s'est tenu à 37.
— La dette intérieure a repris de 28 3/4 -à
29 1/8, et reste à 29.
Italie. ^ Les ducats de Napies ont fléchi de 91.50
à 91.23, et ont repris à 92.
— L'ancien emprunt romain a monté de
. 79 â 79 1/8.
1 — Le nouvel emprunt a fléchi de 79 5/8 à
78 3/8, o! reste à 78 b/S.
— . Le 5 0/0 piémoutais a monté de 80.75 â
87.90 au comptant, età S8.03 à terme.
— Les anciennes obligations du Piémont
ont monté de 972.50 il 975.
— Les nouvelles obligations ont monté de
957.50 à 960.
Haïti.
Hollande.
Grèce.
Rossie
L'emprunt a fléchi de 185 à 180.
Le 2 1/2 0/0 a monté de 56 à 57 3/4, et
reste à 57 1/2. ,\
L'emprunt grec-français a repris de 87
à 89.
Le 4 1/2 0/0 a monté de 94 1/2 à 95.
BOURSE DE LONDRIiS. — 9 mars. — Les consoli
dés au comptant et pour le 13 mars, ouverts à 96
1/4, ont fermé à 95 7/8 96, sous l'influence, dit-on,
de la note adressée par la Russie à notre cabinet.—
Dette active d'Espagns 17 1/2; 3 0/0 d° 36 1/4. —
Nord 13 1/2 3/4. »
BOURSE D'AMSTERDAM. — 8 mars. — Intégr. 2
21 /2 0/0 55 3/4. 5 0/0 d'Esp. 11 3/8.
BOURSE DE BERLIN. — 7 mars. — 5 0/0 105 3/4
papier, 10S 1/A argeijt; 3 t/2 0/0 88 papier.
BOURSE DE VIENNE. — 5 mars. — 5 0/0 94 ; 4 1/2
0/0 82 3/4.
BOURSE DE MADRID. — 5 mars. — 3 0/0 28 1/2 au
comptant; 4 0jO 12 1/2 papier; 5 0/0 125/S papier.'
Banque de Saint-Ferdinand 81 1/2 valeur, 82 pa
pier.—Changes : Londres à 90 jours 50.20;'Paris à
8 jours 5.31 argent.
FEUILLE DE COMMERCE.
PARIS 10 ma.rs.
HALLE AUX BLÉS du 9 mars.
La mévente continue et les cours né se soutien
nent que très faiblement.
La boulangerie, bien approvisionnée en général,
n'achète que pour ses besoins immédiats.
Le restant à vendre à la halle augmente chaque
jour, il a dépasfé 24,000 quintaux.
'' Lé çours-moyeu de. taxe reste dans les iimiles du
pain à 27 e, le kil. et îL est nrêsumabie que ce prix
sera encore celui de la proehaine. taxation.
En grains, il ne s'est rien fait d'important.
Arrivages 427 qx 04 kil.
Ventes 414 48
Restant 24.390 22
Cours moyen du jour, 27 62
Cours-taxe de quinzaine, 27 5S
DÉCÈS ET INHUMATIONS.
Du 8 mars.
M. Marigner, 80 ans, rue de Rivoli, l4.—Mme Cu«
chat, 48 ans, rue de la Corderie-Saint-Honoré, 4.—
Mme V'ilacèqueJ 45 ans, rue Neuve-des-Petits-Champs,
7.— M. Bellefin, 84 ans, faubourg Poissonnière, 30.
—Mlle Huet, 14 ans, rue aux Fers, 28.—M. Rer.que-
rel, 76 ans, rue Fontaine-au-Hoi, 9. — MmeMouray,
46 ans, rue du Temple, 63.— Mme Duhamel, 42 ans,
cité Boufflers, 5. — Mlle Aubeutin, 22 ans, rue de la
Roquette, 61. — M. Lefèvre, 68 ans, impasse Guémé-
née, X — Mme Julien, 75 ans, rue Saint Louis, 79.—
M. Roumieux, 65 ans, rue Saint-Dominique, 158.—
M. Inard, 75 ans, quai Malaquais, 17.—Mme Bailfy,
84 ans, rue d'Enfer, 63.
SPECTACLES DU 11 MARS.
Opéra— Le Prophète. ■
Français— Polveucte, le Moineau de Leshie.
O .-Comique—Les Porcherons.
Italiens— '
Odéon—Lz Sicilien, François le Champi.
Historique —Louise de Yaulcroix.
Vaudaville— Un Ami, 4 N« de la Foire aux idées, la
Dame do Trèfle. - »
Variétés—Le Provincial,les 4Filles Aymon.la Mariée,
l'Homme blàsè, l'Humoriste.
Gymnase—Mlle de Liron, le Coup d'état, les Bijoux.
Montansier—he Voyage, J'ai mangé, les Amans ma
gnifiques, 2 Vieux Papillons, Embrassons-nous.
P.-St-Mart : n— Jocko, Camille Desmoulina,
Galté— Le Pied de mouton.
Amhif/u —l.es 4 l'ils Aymyn.
Ctrijue —Bonaparte.
ïohes —Les Martyrs, iMaricbe.
Ih uscre/ —Lf'Ver luisant.
(Au = U'-t*,leChién,la Mirliton, Jocrisse.
bixer/ilioury—L. Ile enchantce.
Ronert llowhn —Soirée fantastique.
Salle Bonne-Nouvelle— Magnétisme, chant,, danse,gtc.
Imprime par B onifacb , rue des Bons-En'ans, 19.
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