Titre : Gazette littéraire : revue française et étrangère de la littérature, des sciences, des beaux-arts, etc.
Éditeur : A. Sautelet & Ce. (Paris)
Éditeur : Paulin (maison Sautelet et Comp.)Paulin (maison Sautelet et Comp.) (Paris)
Date d'édition : 1831-02-03
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32781310w
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 2019 Nombre total de vues : 2019
Description : 03 février 1831 03 février 1831
Description : 1831/02/03 (T2,N10). 1831/02/03 (T2,N10).
Description : Note : document numérisé. Note : document numérisé.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k54936592
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, Z-5296
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/12/2010
GAZETTE LITTERAIRE.
159'
diesse de la pensée, d'autres l'admirent pour la
variété des tours, l'éclat du coloris, l'élastique sou-
plesse du style. Il arrive encore qu'après avoir
épuisé des admirations si différentes, Courier les
confond tuutes dans une dernière ; il arrive qu'on
finit par aimer l'homme qui sympathise si bien
avec les sentimens de ceux à qui il s'adresse, qui
traduit la pensée de tous avec lant de bonheur et
d'habileté. Olez en effet à l'écrivain la forhie et
l'empreinte qu'il donne à ses opinions, dépouil-
lez le prestige de son élocution,'et cet individua-
lisme de Courier se trouvera être le vôtre. Vous y
retrouverez vos émotions, vos passions, et au plus
haut degré cetesprild'opposilion quele régime de
la restauration a fait passer dans nos moeurs. Le
secret de la popularité de Paul-Louis n'est donc
pas uniquement dans la magie de sou talent, il
est aussi dans la communauté d'impressions el
d'idées qui l'unit à nous; il a cela de commun
avec Bérànger. L'un a été le poète de nos malheurs
el de nos gloires, il a dit tout ce que nos souve-
nirs avaient de grand et de triste, tout ce que
nos espérances avaient de consolant; Bérànger,.
en un mot, a été le-mélodieux écho de uos sym-
pathies : Courier fut l'expression animée el
constante de nos géuéreuses colères. La trempe
de son caractère convenait merveilleusement à ce
rôle. Caractère tout offensif, tout d'attaque, où
son talent s'aiguisait et se retrempait sans cesse.
La lutte dans laquelle il a immortalisé son
nom est terminée , et son genre de polémique ,
nous l'espérons , ne redeviendra plus de circon-
stance; mais qui ne relira aujourd'hui avec émo-
tion, cette chaude page de l'histoire contempo-
raine, qui n'aimera à se reporter, en le lisant,
sous l'impression de ces coinbats journaliers ani-
més par tant de gaîté poignante et de verve mali-
cieuse.
Grâce à l'idée qu'a eue M. Paulin de réunir
daus ces deux petits volumes tous les pamphlets
de Courier, c'est-à-dire tout ce qu'il a écrit de
mieux, les personnes qui font de leurs lectures
une étude d'art, pourront, en écartant l'appa-
reil politique dé l'écrivain, suivre la progression
de son talent, et assister ainsi au travail secret
du génie qui se perfectionne.
Courier fut'au plus haut degré, comme nous
le disions tout-à-l'heure , écrivain , artiste,
homme politique. Il devait être et il est en effet
à cause de cela, notre prosateur le plus popu-
laire.
LES ALGÉRIENNES , poésies par madame ANAÏS
SÉGALAS (i).
Le nom de madame Anaïs Ségalas est jusqu'à
présent, je crois,inconnu dans les lettres.Le livre
ne dit rieu de la personne qui le porté ; seulement
on devine par quelques vers de l'épilogue qu'elle
est d'une extrême jeunesse. Les Algériennes, tel
(i). Cliez. Mary, i?assogo des Panoramas..
est le titre de ces poésies , là guerre d'Alger
qui vient d'ajouter une page si glorieuse à notre
histoire n'a pas encore reçu, que je sache; un
plus brillant hommage. Ce sont huit petits
poèmes distincts, mai6 qui se lient entre eux par
l'uuité du sujet principal dont ils recèlent toute
la poésie. On y sent vivre partout l'âme du véri-
table poète qui se développe avec indépendance
et qui sans prendre parti sous aucune bannière dé-
peint ses émotions, ses pensées telles qu'elles
naissent en lui. il y a bien ça et là quelque insuf-
fisance, quelque obscurité dans l'expression, un
peu d'embarras dans la marche et le dessin du
Sujet, et dès traits en petit nombre qui semblent
occuper pour la rime la place d'une idée. Mais
à|part ces défauts qui tiennent à l'inexpérience
d'un talent si jeune encore, une grâce vraiment
antique alliée à la plus mâle énergie abonde dans
les poésies de madame Ségalas. Je n'en citerai
rien : les citations sont toujours suspectes : d'ail-
leurs elles ne donnent jamais qu'une imparfaite
idée de l'ensemble indivisible d'une composition.
Toutefois je ne crains pas d'affirmer que les Al-
gériennes sortent de la foule des productions du
même genre et que des conceptions telles que
VEsclave] la Captive, le Cri de guerre des Algé-
riens , lé Champ de bataille révèlent un talent
plein d'espérances. L'âme est pénétrée d'une vé-
ritable douleur aux accens de la Captive, et Y Es-
clave avec quelle origiualité ses misères, ses souf-
frances morales ne sont-elles pas décrites ! Voyez
la farouche iutrépidité du guerrier mahométan
et sous le charme de cette poésie orientale si
riche d'images, avec quelle frappante fidélité Ieca-
ractère national des Français, des Arabes, des
Algériens pêle-mêle tombés dans la bataille est
conservé jusque daus la mort même. Une com-
position pleine de feu , qui n'honore pas moins
le caraclère que le talent du poêle; les Fran-
çaises à Alger, sera lue et citée avec orgueil
par toutes les femmes. C'est une espèce de fac-
tum contre les prétentions trop exclusives des
hommes au courage et à la valeur. Les Algérien-
nes font le principal ornement de ce recueil,
mais elles n'en sonl pas le seul. Les poésies diver-
ses qui les suivent, bien que d'un genre différent
exciteront aussi le plus vif intérêt. Je placerais
volontiers au premier rang Rita et Christina ,
leur union mystérieuse élève la pensée du poète.
D'autres lui préféreront peut-être cette pièce char-
mante où le bonheur de l'enfance est senti avec
tant de naïveté. On le voit, il est rare qu'un si
mince recueil qui parait rr'avoir que le souffle
auprès de beaucoup de poèmes plus volumineux
contienne cependant tant, d'élémens de succès
et de vie. Sans doute quelques taches s'y font
remarquer, et j'ai dû les signaler à l'attention du
poète: mais tel qu'il est, et malgré les sombres
préoccupations de la politique, ce recueil de ma-
dame Anaïs Ségalas ne passera certainement pas
inaperçu.
Nouvelles scientifiques
et littéraires.
—M. Carlo Fea a lu à l'ouverture de l'acadé-
mie archéologique de Rome, le iS novembre
dernier, un mémoire sur l'inscription ruuîque de
Trajan, découverte dernièrement à environ dix
milles de Rome. Cette inscription détermine l'an-
née pendant laquelle fut bâli l'aqueduc des eaux
Sahantine ou de Trajan, lesquelles sont à-peu-
près les mêmes que celles nommées aujourd'hui
VAcqua Paola. L'inscription porte la date de
l'an no de l'ère vulgaire.
— On lit dans Y Asiatic journal .•,
•■ Napoléon aeg -,;il;a encore et il aura toujours
en Europe des^adorateurs ; mais on n'aurait pas
imaginé que son culte se fût répandu jusque chez
les Chinois ; cependant un missionnaire anglais
à Java nous apprend que, dans le village de Bui-
tenzorg , auprès de Batavia, où se trouve une
colonie de deux mille Chinois , il a vu dans une-
maison un tableau de Napoléon, garni d'un cadre
doré, devant lequel des Chinois' brûlaient de
: l'encens, en lui adressant soir el matin leurs voeux
j et leurs prières.. »
| —M. Jokel,.professeur au gymnase de Fre-
i derichwerder^à Berlin, apubliéun traité pourdé-
montrer que la langue latine et le peuple roinain
étaient d'origine allemande.
— M. Gâsc, chef d'institution à Paris , a fait
hommage au roi de ses- Considérations: sur la
nécessité et les moyens de réformer le régime
universitaire. Cet ouvrage renferme un plan com-
plet de réforme et les matériaux d'une excellente
législation sur l'instruction publique. Le roi l'a
accueilli avec une faveur toute particulière.
— La Faculté de médecine de Paris a fait sa
distribution solennelle des prix le 2 S janvier.
'Ont été couronnés MM. Sestier , Paiiloux, Dela-
berge, Bergeron, Boulanger, Bachelier ( de la
Sarthe ) , et parmi les élèves sages-femmes mes-
dames Paînd'avoine et Guillot.
— On annonce la publication d'un nouveau
recueil intitulé Y Artiste, le titre de cette feuille
dit assez quelle en sera- la spécialité. Elle offrira
des productions de nos plus célèbres artistes, tels
que MM. Horace Vernet, Delacroix , Deveria,
Charlet,etc. En outre, chaque numéro contien-
dra l'analyse de quelque ouvrage nouveau , ainsi
qu'une revue- dramatique et musicale ;: parfois-
une nouvelle ou quelque saynète viendra encore
animer ce cadre, et fera de cette feuille un album,
indispensable aux gens du monde , aux artistes
et à tous nos fashionables. Le nom des écrivains
distingués, qui concourent à la rédaction de VAr-
tiste doit assurer son, succès.
—La ville de Berlin fut fondée entre 1202 et
1220 par Albert II. En 1640 elle ne comptait
encore que 6000 habitaus, en 1648 ce nombre
159'
diesse de la pensée, d'autres l'admirent pour la
variété des tours, l'éclat du coloris, l'élastique sou-
plesse du style. Il arrive encore qu'après avoir
épuisé des admirations si différentes, Courier les
confond tuutes dans une dernière ; il arrive qu'on
finit par aimer l'homme qui sympathise si bien
avec les sentimens de ceux à qui il s'adresse, qui
traduit la pensée de tous avec lant de bonheur et
d'habileté. Olez en effet à l'écrivain la forhie et
l'empreinte qu'il donne à ses opinions, dépouil-
lez le prestige de son élocution,'et cet individua-
lisme de Courier se trouvera être le vôtre. Vous y
retrouverez vos émotions, vos passions, et au plus
haut degré cetesprild'opposilion quele régime de
la restauration a fait passer dans nos moeurs. Le
secret de la popularité de Paul-Louis n'est donc
pas uniquement dans la magie de sou talent, il
est aussi dans la communauté d'impressions el
d'idées qui l'unit à nous; il a cela de commun
avec Bérànger. L'un a été le poète de nos malheurs
el de nos gloires, il a dit tout ce que nos souve-
nirs avaient de grand et de triste, tout ce que
nos espérances avaient de consolant; Bérànger,.
en un mot, a été le-mélodieux écho de uos sym-
pathies : Courier fut l'expression animée el
constante de nos géuéreuses colères. La trempe
de son caractère convenait merveilleusement à ce
rôle. Caractère tout offensif, tout d'attaque, où
son talent s'aiguisait et se retrempait sans cesse.
La lutte dans laquelle il a immortalisé son
nom est terminée , et son genre de polémique ,
nous l'espérons , ne redeviendra plus de circon-
stance; mais qui ne relira aujourd'hui avec émo-
tion, cette chaude page de l'histoire contempo-
raine, qui n'aimera à se reporter, en le lisant,
sous l'impression de ces coinbats journaliers ani-
més par tant de gaîté poignante et de verve mali-
cieuse.
Grâce à l'idée qu'a eue M. Paulin de réunir
daus ces deux petits volumes tous les pamphlets
de Courier, c'est-à-dire tout ce qu'il a écrit de
mieux, les personnes qui font de leurs lectures
une étude d'art, pourront, en écartant l'appa-
reil politique dé l'écrivain, suivre la progression
de son talent, et assister ainsi au travail secret
du génie qui se perfectionne.
Courier fut'au plus haut degré, comme nous
le disions tout-à-l'heure , écrivain , artiste,
homme politique. Il devait être et il est en effet
à cause de cela, notre prosateur le plus popu-
laire.
LES ALGÉRIENNES , poésies par madame ANAÏS
SÉGALAS (i).
Le nom de madame Anaïs Ségalas est jusqu'à
présent, je crois,inconnu dans les lettres.Le livre
ne dit rieu de la personne qui le porté ; seulement
on devine par quelques vers de l'épilogue qu'elle
est d'une extrême jeunesse. Les Algériennes, tel
(i). Cliez. Mary, i?assogo des Panoramas..
est le titre de ces poésies , là guerre d'Alger
qui vient d'ajouter une page si glorieuse à notre
histoire n'a pas encore reçu, que je sache; un
plus brillant hommage. Ce sont huit petits
poèmes distincts, mai6 qui se lient entre eux par
l'uuité du sujet principal dont ils recèlent toute
la poésie. On y sent vivre partout l'âme du véri-
table poète qui se développe avec indépendance
et qui sans prendre parti sous aucune bannière dé-
peint ses émotions, ses pensées telles qu'elles
naissent en lui. il y a bien ça et là quelque insuf-
fisance, quelque obscurité dans l'expression, un
peu d'embarras dans la marche et le dessin du
Sujet, et dès traits en petit nombre qui semblent
occuper pour la rime la place d'une idée. Mais
à|part ces défauts qui tiennent à l'inexpérience
d'un talent si jeune encore, une grâce vraiment
antique alliée à la plus mâle énergie abonde dans
les poésies de madame Ségalas. Je n'en citerai
rien : les citations sont toujours suspectes : d'ail-
leurs elles ne donnent jamais qu'une imparfaite
idée de l'ensemble indivisible d'une composition.
Toutefois je ne crains pas d'affirmer que les Al-
gériennes sortent de la foule des productions du
même genre et que des conceptions telles que
VEsclave] la Captive, le Cri de guerre des Algé-
riens , lé Champ de bataille révèlent un talent
plein d'espérances. L'âme est pénétrée d'une vé-
ritable douleur aux accens de la Captive, et Y Es-
clave avec quelle origiualité ses misères, ses souf-
frances morales ne sont-elles pas décrites ! Voyez
la farouche iutrépidité du guerrier mahométan
et sous le charme de cette poésie orientale si
riche d'images, avec quelle frappante fidélité Ieca-
ractère national des Français, des Arabes, des
Algériens pêle-mêle tombés dans la bataille est
conservé jusque daus la mort même. Une com-
position pleine de feu , qui n'honore pas moins
le caraclère que le talent du poêle; les Fran-
çaises à Alger, sera lue et citée avec orgueil
par toutes les femmes. C'est une espèce de fac-
tum contre les prétentions trop exclusives des
hommes au courage et à la valeur. Les Algérien-
nes font le principal ornement de ce recueil,
mais elles n'en sonl pas le seul. Les poésies diver-
ses qui les suivent, bien que d'un genre différent
exciteront aussi le plus vif intérêt. Je placerais
volontiers au premier rang Rita et Christina ,
leur union mystérieuse élève la pensée du poète.
D'autres lui préféreront peut-être cette pièce char-
mante où le bonheur de l'enfance est senti avec
tant de naïveté. On le voit, il est rare qu'un si
mince recueil qui parait rr'avoir que le souffle
auprès de beaucoup de poèmes plus volumineux
contienne cependant tant, d'élémens de succès
et de vie. Sans doute quelques taches s'y font
remarquer, et j'ai dû les signaler à l'attention du
poète: mais tel qu'il est, et malgré les sombres
préoccupations de la politique, ce recueil de ma-
dame Anaïs Ségalas ne passera certainement pas
inaperçu.
Nouvelles scientifiques
et littéraires.
—M. Carlo Fea a lu à l'ouverture de l'acadé-
mie archéologique de Rome, le iS novembre
dernier, un mémoire sur l'inscription ruuîque de
Trajan, découverte dernièrement à environ dix
milles de Rome. Cette inscription détermine l'an-
née pendant laquelle fut bâli l'aqueduc des eaux
Sahantine ou de Trajan, lesquelles sont à-peu-
près les mêmes que celles nommées aujourd'hui
VAcqua Paola. L'inscription porte la date de
l'an no de l'ère vulgaire.
— On lit dans Y Asiatic journal .•,
•■ Napoléon aeg -,;il;a encore et il aura toujours
en Europe des^adorateurs ; mais on n'aurait pas
imaginé que son culte se fût répandu jusque chez
les Chinois ; cependant un missionnaire anglais
à Java nous apprend que, dans le village de Bui-
tenzorg , auprès de Batavia, où se trouve une
colonie de deux mille Chinois , il a vu dans une-
maison un tableau de Napoléon, garni d'un cadre
doré, devant lequel des Chinois' brûlaient de
: l'encens, en lui adressant soir el matin leurs voeux
j et leurs prières.. »
| —M. Jokel,.professeur au gymnase de Fre-
i derichwerder^à Berlin, apubliéun traité pourdé-
montrer que la langue latine et le peuple roinain
étaient d'origine allemande.
— M. Gâsc, chef d'institution à Paris , a fait
hommage au roi de ses- Considérations: sur la
nécessité et les moyens de réformer le régime
universitaire. Cet ouvrage renferme un plan com-
plet de réforme et les matériaux d'une excellente
législation sur l'instruction publique. Le roi l'a
accueilli avec une faveur toute particulière.
— La Faculté de médecine de Paris a fait sa
distribution solennelle des prix le 2 S janvier.
'Ont été couronnés MM. Sestier , Paiiloux, Dela-
berge, Bergeron, Boulanger, Bachelier ( de la
Sarthe ) , et parmi les élèves sages-femmes mes-
dames Paînd'avoine et Guillot.
— On annonce la publication d'un nouveau
recueil intitulé Y Artiste, le titre de cette feuille
dit assez quelle en sera- la spécialité. Elle offrira
des productions de nos plus célèbres artistes, tels
que MM. Horace Vernet, Delacroix , Deveria,
Charlet,etc. En outre, chaque numéro contien-
dra l'analyse de quelque ouvrage nouveau , ainsi
qu'une revue- dramatique et musicale ;: parfois-
une nouvelle ou quelque saynète viendra encore
animer ce cadre, et fera de cette feuille un album,
indispensable aux gens du monde , aux artistes
et à tous nos fashionables. Le nom des écrivains
distingués, qui concourent à la rédaction de VAr-
tiste doit assurer son, succès.
—La ville de Berlin fut fondée entre 1202 et
1220 par Albert II. En 1640 elle ne comptait
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