Titre : Marie-Claire / dir. Jean Prouvost
Éditeur : Marie-Claire (Paris)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Lyon)
Date d'édition : 1937-12-03
Contributeur : Prouvost, Jean (1885-1978). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343488519
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 03 décembre 1937 03 décembre 1937
Description : 1937/12/03 (A0,N40). 1937/12/03 (A0,N40).
Description : Collection numérique : Littérature de jeunesse Collection numérique : Littérature de jeunesse
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k4701151f
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-20016
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 19/09/2017
FAITES COMME LA REINE MARY...
...PRÉPAREZ DÉJA VOTRE PUDDING DE NOËL
LA REINE MARY DEVANT SON PUDDING DE NOËL
Dans son palais de Marlborough House, la reine Mary
ne se borne pas à contempler avec amour ses merveil-
leuses et muettes collections de jade. Non, la reine,
éprise de beaux meubles anciens, est aussi une femme
d'inférieur active malgré ses soixante-dix ans passés.
Du temps du roi George V, la reine n'agissait pas différem-
ment. Elle gardait l'œil sur les cuisines et ne dédaignait pas
d'observer les fourneaux derrière son face-à-main. Dès le
début de la crise, elle réduisit d'un bon tiers les dépenses de
la « maison ». Un humoriste illustra, à cette époque, la fureur
d'économie qui sévissait à Bucking-ham-Palace par un dessin
où l'on voyait une reine Mary courroucée qui déclarait à son
époux coiffé de la couronne impériale et revêtu du grand man-
teau d'hermine : « George, vous avez encore laissé l'électricité
allumée dans la salle de bains. »
L'une des occupations favorites de la royale ménagère était,
au moment de Noël, la confection du pudding. Le même pud-
ding était servi aux souverains et à tous leurs serviteurs. Le
nom de la reine Mary était si bien associé à cette confection
du gâteau de Noël qu'on ne craignit pas, une fois, de lui
écrire pour lui demander sa recette.
C'était l'année où tous les Dominions avaient envoyé à
Londres de quoi faire un pudding géant de dix tonnes, ni plus,
ni moins, pudding qui fut ensuite vendu au profit de l'œuvre
du « Secours aux Animaux malades ». Le Canada avait en-
vové une tonne de farine, l'Australie deux tonnes de raisins,
la Nouvelle-Zélande deux tonnes de graisse de bœuf, .les Indes
orientales soixante-dix gallons de rhum, Chypre deux gallons
de brandy, l'Irlande 22.400 œufs, et ça n'était pas tout.
Comment fallait-il mélanger ces provisions bonnes pour le
palais de Dame-Tartine ? La reine consentit alors à livrer
un des secrets de la Couronne. Elle publia la recette du pud-
ding Windsor, le, seul authentique (évitez les contrefaçons),
le seul qui frit approuvé par George V, roi de Grande-Breta-
gne et d'friande, empereur des Indes et défenseur de la foi.
C'est à cette recette que la reine Mary se conformera encore
cette année quand elle .surveillera le pudding, de dimensions
plus modestes, qui sera servi à sa table au jour consacré. Ce
jour-là, la petite princesse Elisabeth, reine de demain, viendra
embrasser celle qu'elle appelle « Grand'Maman-Reine » et lui
souhaitera, selon la formule, « un joyeux Noël et de longues
années d existence ».
ROBERT ANCENIS.
LA RECETTE FAMEUSE
Il faut préparer le pudding Windsor trois semaines avant de le servir,
et sa confection nécessite près d'une journée entière. Mais aussi, quel
régal... royal !
Voici d'ailleurs la nomenclature des ingrédients pour huit personnes :
250 gr. de sucre en poudre ;
350 gr. de graisse de bœuf hachée finement ;
250 gr. de raisins de Damas nettoyés ;
250 gr. de raisins secs (coupés et sans pépins) ;
250 gr. de raisins de Corinthe (lavés et asséchés) ;
125 gr. de peaux de citrons et oranges, confits au sllcre ;
125 gr. de farine ;
125 gr. de miettes de pain ;
. 65 gr. d'amandes pelées et hachées ;
3 œu fs entiers bien battus ;
1/2 cuillerée de sel ; *
1/4 cuillerée de muscade râpée, cannelle. gingembre, quatre épices, clous
de girofle à volonté ; ,
1 écprce de citron râpée ;
1/4 de litre de lait ;
i verre à 'madère de cognac.
La marche à suivre doit être observée minutieusement : dans une terrine
en faïence, mélangez tous les ingrédients secs ensemble, en plongeant les
mains, les paumes en dessus et les doigts écartés, puis ajoutez les
œufs bien battus, le lait et l'eau-de-vie. Remuez environ deux heures
pour que le mélange soit bien homogène. Remplissez de votre pud-
ding des bols soigneusement beurrés en bombant un peu. Prenez
alors un linge à peine humide, farinez-le en faisant pression sur le
pudding, ficelez fortement autour du rebord. Remettez une couche
de farine et mettez le tout dans un autre linge.
Plongez le pudding dans une grande quantité d'eau bouillante et
laissez cuire. La couche de farine entre les deux toiles forme une
espèce de croûte qui conserve au pudding toute sa saveur. La cuis-
son terminée, retirez le pudding de l'eau. Laissez le premier linge
jusqu'au moment du démoulage.
Lorsque le réveillon arrive, faites recuire à l'eau bouillante pen-
dant deux heures. Au moment de servir, arrosez d'un décilitre de
cognac, faites flamber et présentez à table.
VOICI
QUELQUES RECETTES DE PUDDINGS
PLUS " FANTAISIE "
LE YORKSHIRE PUDDING.
Le Yorkshire pudding est une espèce de flan que
l'on sert avec le rôti de bœuf. C est une des gloires
de la cuisine anglaise. // est facile à exécuter. Dans
une terrine, mélanger : un œuf, 80 gr. de farine, un
demi-litre de lait, une pincée de se/. Battre le tout
ensemble au fouet pendant dix minutes au moins, et
ceci pour incorporer de l'air dans la pôte, ce qui la
fera monter au cours 1 de la cuisson. Prendre un
moule à tarte à bords très surélevés. Déposer dans
ce moule une bonne cuillerée à soupe de graisse de
rôti de bœuf conservée depuis un dernier roastbeef (a
défaut, employer du saindoux). Poser le moule sur le
feu. La graisse fond, fume. Le moule est excessive-
ment chaud (c'est là le secret de la réussite). Verser
la pâte sur une épaisseur de deux centimètres au
maximum. Porter le moule au four pas trop chaud et
laisser cuire pendant trois quarts d'heure. Après dix
minutes de cuisson, la pâte commence à gonfler sur
les bords du moule. Elle monte le long du métal, cuit
lentement, puisque le four n'est pas brûlant. Puis le ^
pudding prend couleur au-dessus et au-dessous. Après
trois quarts d'heure, démouler, couper en quatre oue ,>,
six morceaux et servir avec un rôti de bœuf soigna ,,l
accompagné de son jus. Conserver, bien entendu, u#
la graisse de rôti pour le prochain Yorkshire puddiji§
If . V
PUDDING A LA SEMOULE.
Faire bouillir ,un litre de lait ; ajouter en tournant,
sur le feu, 100 gr. de sucre, une pincée de sel,
100 gr. de beurre, 300 gr. de semoule, un peu de
vanille. Laisser cuire vingt minutes en tournant tou-
jours. Enlever du feu, laisser refroidir. Ajoutez 6 jau-
nes d'œufs un à un, puis les 6 blancs battus en
neige. Mettre au four trente minutes, pas davantage.
\
VICTORIA PUDDING.
250 gr. de graisse de bœuf, 250 gr. de forme, une
demi-cuillerée à café de sel, un œuf, 500 gr. de
pommes, 125 gr. de sucre. Mélanger : graisse, farine,
sel et œuf préalablement battu ; faire une pâte com-
pacte. Préparer une terrine garnie d'une serviette
saupoudrée de farine, y mettre la pâte en faisant un
creux au centre. Poser les pommes épluchées et cou-
pées en petits morceaux, sucrer le tout avant de
rabattre les bords de votre pâte pour former le pud-
> ding un peu bombé. Nouer la serviette. Mettre à
[ cuire dans l'eau bouillante pendant deux heures et
demie. Au moment de servir sur un plat chaud, en-
H lever la serviette, recouvrir avec une crème anglaise.
PUDDING AUX MARRONS.
1 kifo de marrons cuits et épluches, 150 gr. de sucre,
100 gr. de beurre, 8 œufs, une gousse de vanille.
Sur le feu, avoir de l'eau dans le fond d'une casse-
role. Mettre le sucre, la vanille, les marrons passés
ou tamis et, enfin, le beurre. Remuer douc-jment pour
amalgamer le tout. Retirer. Laisser refroidir. Ajoute
une demi-heure avant de servir, les jaunes un à un,
puis les blancs battus en neige. Lisser la surface.
Mettre au four doux jusqu'au moment du service.
SEEBERGE.R
...PRÉPAREZ DÉJA VOTRE PUDDING DE NOËL
LA REINE MARY DEVANT SON PUDDING DE NOËL
Dans son palais de Marlborough House, la reine Mary
ne se borne pas à contempler avec amour ses merveil-
leuses et muettes collections de jade. Non, la reine,
éprise de beaux meubles anciens, est aussi une femme
d'inférieur active malgré ses soixante-dix ans passés.
Du temps du roi George V, la reine n'agissait pas différem-
ment. Elle gardait l'œil sur les cuisines et ne dédaignait pas
d'observer les fourneaux derrière son face-à-main. Dès le
début de la crise, elle réduisit d'un bon tiers les dépenses de
la « maison ». Un humoriste illustra, à cette époque, la fureur
d'économie qui sévissait à Bucking-ham-Palace par un dessin
où l'on voyait une reine Mary courroucée qui déclarait à son
époux coiffé de la couronne impériale et revêtu du grand man-
teau d'hermine : « George, vous avez encore laissé l'électricité
allumée dans la salle de bains. »
L'une des occupations favorites de la royale ménagère était,
au moment de Noël, la confection du pudding. Le même pud-
ding était servi aux souverains et à tous leurs serviteurs. Le
nom de la reine Mary était si bien associé à cette confection
du gâteau de Noël qu'on ne craignit pas, une fois, de lui
écrire pour lui demander sa recette.
C'était l'année où tous les Dominions avaient envoyé à
Londres de quoi faire un pudding géant de dix tonnes, ni plus,
ni moins, pudding qui fut ensuite vendu au profit de l'œuvre
du « Secours aux Animaux malades ». Le Canada avait en-
vové une tonne de farine, l'Australie deux tonnes de raisins,
la Nouvelle-Zélande deux tonnes de graisse de bœuf, .les Indes
orientales soixante-dix gallons de rhum, Chypre deux gallons
de brandy, l'Irlande 22.400 œufs, et ça n'était pas tout.
Comment fallait-il mélanger ces provisions bonnes pour le
palais de Dame-Tartine ? La reine consentit alors à livrer
un des secrets de la Couronne. Elle publia la recette du pud-
ding Windsor, le, seul authentique (évitez les contrefaçons),
le seul qui frit approuvé par George V, roi de Grande-Breta-
gne et d'friande, empereur des Indes et défenseur de la foi.
C'est à cette recette que la reine Mary se conformera encore
cette année quand elle .surveillera le pudding, de dimensions
plus modestes, qui sera servi à sa table au jour consacré. Ce
jour-là, la petite princesse Elisabeth, reine de demain, viendra
embrasser celle qu'elle appelle « Grand'Maman-Reine » et lui
souhaitera, selon la formule, « un joyeux Noël et de longues
années d existence ».
ROBERT ANCENIS.
LA RECETTE FAMEUSE
Il faut préparer le pudding Windsor trois semaines avant de le servir,
et sa confection nécessite près d'une journée entière. Mais aussi, quel
régal... royal !
Voici d'ailleurs la nomenclature des ingrédients pour huit personnes :
250 gr. de sucre en poudre ;
350 gr. de graisse de bœuf hachée finement ;
250 gr. de raisins de Damas nettoyés ;
250 gr. de raisins secs (coupés et sans pépins) ;
250 gr. de raisins de Corinthe (lavés et asséchés) ;
125 gr. de peaux de citrons et oranges, confits au sllcre ;
125 gr. de farine ;
125 gr. de miettes de pain ;
. 65 gr. d'amandes pelées et hachées ;
3 œu fs entiers bien battus ;
1/2 cuillerée de sel ; *
1/4 cuillerée de muscade râpée, cannelle. gingembre, quatre épices, clous
de girofle à volonté ; ,
1 écprce de citron râpée ;
1/4 de litre de lait ;
i verre à 'madère de cognac.
La marche à suivre doit être observée minutieusement : dans une terrine
en faïence, mélangez tous les ingrédients secs ensemble, en plongeant les
mains, les paumes en dessus et les doigts écartés, puis ajoutez les
œufs bien battus, le lait et l'eau-de-vie. Remuez environ deux heures
pour que le mélange soit bien homogène. Remplissez de votre pud-
ding des bols soigneusement beurrés en bombant un peu. Prenez
alors un linge à peine humide, farinez-le en faisant pression sur le
pudding, ficelez fortement autour du rebord. Remettez une couche
de farine et mettez le tout dans un autre linge.
Plongez le pudding dans une grande quantité d'eau bouillante et
laissez cuire. La couche de farine entre les deux toiles forme une
espèce de croûte qui conserve au pudding toute sa saveur. La cuis-
son terminée, retirez le pudding de l'eau. Laissez le premier linge
jusqu'au moment du démoulage.
Lorsque le réveillon arrive, faites recuire à l'eau bouillante pen-
dant deux heures. Au moment de servir, arrosez d'un décilitre de
cognac, faites flamber et présentez à table.
VOICI
QUELQUES RECETTES DE PUDDINGS
PLUS " FANTAISIE "
LE YORKSHIRE PUDDING.
Le Yorkshire pudding est une espèce de flan que
l'on sert avec le rôti de bœuf. C est une des gloires
de la cuisine anglaise. // est facile à exécuter. Dans
une terrine, mélanger : un œuf, 80 gr. de farine, un
demi-litre de lait, une pincée de se/. Battre le tout
ensemble au fouet pendant dix minutes au moins, et
ceci pour incorporer de l'air dans la pôte, ce qui la
fera monter au cours 1 de la cuisson. Prendre un
moule à tarte à bords très surélevés. Déposer dans
ce moule une bonne cuillerée à soupe de graisse de
rôti de bœuf conservée depuis un dernier roastbeef (a
défaut, employer du saindoux). Poser le moule sur le
feu. La graisse fond, fume. Le moule est excessive-
ment chaud (c'est là le secret de la réussite). Verser
la pâte sur une épaisseur de deux centimètres au
maximum. Porter le moule au four pas trop chaud et
laisser cuire pendant trois quarts d'heure. Après dix
minutes de cuisson, la pâte commence à gonfler sur
les bords du moule. Elle monte le long du métal, cuit
lentement, puisque le four n'est pas brûlant. Puis le ^
pudding prend couleur au-dessus et au-dessous. Après
trois quarts d'heure, démouler, couper en quatre oue ,>,
six morceaux et servir avec un rôti de bœuf soigna ,,l
accompagné de son jus. Conserver, bien entendu, u#
la graisse de rôti pour le prochain Yorkshire puddiji§
If . V
PUDDING A LA SEMOULE.
Faire bouillir ,un litre de lait ; ajouter en tournant,
sur le feu, 100 gr. de sucre, une pincée de sel,
100 gr. de beurre, 300 gr. de semoule, un peu de
vanille. Laisser cuire vingt minutes en tournant tou-
jours. Enlever du feu, laisser refroidir. Ajoutez 6 jau-
nes d'œufs un à un, puis les 6 blancs battus en
neige. Mettre au four trente minutes, pas davantage.
\
VICTORIA PUDDING.
250 gr. de graisse de bœuf, 250 gr. de forme, une
demi-cuillerée à café de sel, un œuf, 500 gr. de
pommes, 125 gr. de sucre. Mélanger : graisse, farine,
sel et œuf préalablement battu ; faire une pâte com-
pacte. Préparer une terrine garnie d'une serviette
saupoudrée de farine, y mettre la pâte en faisant un
creux au centre. Poser les pommes épluchées et cou-
pées en petits morceaux, sucrer le tout avant de
rabattre les bords de votre pâte pour former le pud-
> ding un peu bombé. Nouer la serviette. Mettre à
[ cuire dans l'eau bouillante pendant deux heures et
demie. Au moment de servir sur un plat chaud, en-
H lever la serviette, recouvrir avec une crème anglaise.
PUDDING AUX MARRONS.
1 kifo de marrons cuits et épluches, 150 gr. de sucre,
100 gr. de beurre, 8 œufs, une gousse de vanille.
Sur le feu, avoir de l'eau dans le fond d'une casse-
role. Mettre le sucre, la vanille, les marrons passés
ou tamis et, enfin, le beurre. Remuer douc-jment pour
amalgamer le tout. Retirer. Laisser refroidir. Ajoute
une demi-heure avant de servir, les jaunes un à un,
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