Titre : Elle : l'hebdomadaire de la femme : tous les mercredis / rédacteur en chef Hélène Gordon-Lazareff
Éditeur : Elle (Paris)
Éditeur : CMI PublishingCMI Publishing (Levallois-Perret)
Date d'édition : 1946-05-14
Contributeur : Gordon-Lazareff, Hélène (1909-1988). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343485686
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 14 mai 1946 14 mai 1946
Description : 1946/05/14 (N26). 1946/05/14 (N26).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k30541439
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, 4-JO-3947
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 05/06/2019
Hedy, la « jardinière d’enfants » nous
accueille. Margaret réédite son tic étran
ge : une paume frotte un œil sec et brû
lant, puis l’autre paume, l’autre œil.
Hedy se penche sur l’enfant :
— Tu as envie de pleurer, Margaret ?
Eh bien ! pleure.
— Quand on pleure, on attrape des gi
fles. dit-elle.
— Ici, nous ne giflons jamais les petites
filles.
Elle s’agenouille, attire doucement l’en
fant à elle. Margaret pousse un long sou
pir tremblé, puis s’offre le luxe de hurle
ments, de sanglots, de larmes. Les petites
mains, détendues, s’ouvrent sans plus se
soucier de frotter les paupières.
Je voudrais me boucher les oreilles. Je
supplie Hedy du regard : elle a déchaîné
c e concert ; qu’elle l’arrête, bon Dieu !
Qu'elle l’arrête. Mais non, elle sourit tout
heureuse, d’avoir déchiffré du premier
coup le tic étrange de l’enfant.
En deux mots, voici l’histoire. La ma-
m an de Margaret, tuée dans
un bombardement. Son père
m °rt à la guerre. L’enfant
est placée chez une brave
femme qui fait ce qu’elle
Peut. Mais Margaret ne
cesse de pleurer, de crier :
« Maman, je veux ma ma-
m an, je veux retourner chez
ma maman ! » Et la bonne
femme, à bout, la fait taire
avec des gifles. Margaret en
conclut qu’on ne doit j amais
Pleurer ce qu’on aime, et
Qu’il faut refouler ses lar
mes.
A u goûter, Mar
garet et John déclarent
Qu’ils ne mangeront que si
le m’assieds entre eux deux.
A chaque bouchée, ils lèvent
le s yeux vers moi pour s’as
surer de ma présence. Pour-
Quoi cet attachement ? Ils
me connaissent à peine.
— Parce que vous êtes le
hen entre hier et aujour
d'hui, explique Hedy. C’est
J® manque de continuité
dans leur vie qui affole ces
Petits.
Il faut voir manger Mar
ket. Elle, qui refusait toute
Pourriture, a absorbé deux
assiettées de bouillie, un
verre de lait, de la saucisse,
des toasts, une pomme. Tout
cela parce qu’on lui a per
des de pleurer.
, Après le goûter, les enfants prennent un
°ain et puis, au lit.
— Tu dors avec nous, déclare John.
— Je veux qu’il reste avec nous, gémit
Margaret.
Les deux enfants se mettent à pleurer.
On dresse un lit pour moi dans leur
Çhambre. Quand les enfants sont endormis,
ie me déshabille et me glisse dans le lit.
11 est six heures et demie du soir. Pas pré
cisément mon heure habituelle.
Un ronflement sourd
n ‘'éveille dans la nuit : les bombardiers
allemands. Margaret gémit dans son som-
meil. Elle s’éveille et se dresse. John n’a
Pas bougé. Sur la pointe des pieds, dans
ms ténèbres, je m’approche du petit lit
de Margaret. Elle tend ses bras vers moi.
Elle tremble et étreint mon cou.
—- Quand est-ce qu’il va s’en aller ? de
mande-t-elle.
Je réponds avec calme :
Mais je ne suis pas calme. Le gronde
ment est juste au-dessus de nos têtes. Si
Quelque chose doit arriver, ce sera dans
ûne seconde, peut-être deux...
Le grondement s’éloigne, le danger est
passé. Margaret se détend et je la remets
dans son lit.
J’ai décidé de les em
mener tous deux. Mais voilà que l’avion de
Lisbonne n’accepte pas mes enfants. Inu
tile d’insister. Il ne prend que huit passa
gers qui, souvent, attendent leur tour pen
dant des mois. Le poids est contrôlé si
minutieusement quon me demande de ré
duire mes bagages à vingt kilos. Vingt
kilos ? Au fait, Margaret en pèse seize et
John, dix-huit et demi. Finalement, le mi
nistère de l’Air m’autorise à prendre un
enfant, à la place de mes bagages, à con
dition qu’il soit assis sur mes genoux.
Un enfant seulement... Lequel ?
Avec le secours d’Anna et d’Hedy, je me
décide enfin. Pour Margaret.
A' ur le quai du train
de Bournemouth, nous formons un couple
très remarqué : moi, sac au dos, dans mon
Dans le film, Le Voyage de Margaret, Robert Young incarne le rôle
de M. L. White, et Margaret O’Brien — bonnet pointu, éclat d’obus
— la petite héroïne qui cherché la paix, le bonheur et l’oubli.
vieil imperméable, un casque militaire bal
lant sur ma cuisse gauche et, dans ma
main droite, la patte menue de cette fil
lette à guêtres rouges et chaperon pointu.
Le train fait halte dans un petit pate
lin. Je saute sur le quai. Des cris de ter
reur m’arrêtent. Je reviens en courant vers
Margaret.
— Qu’est-ce qu’il y a, petite ? Tu croyais
que j’allais te laisser ? Tu sais bien que
papa ne te quittera plus jamais.
Elle secoue la tête solennellement. Mais
les larmes montent. Elle lutte, et puis en
fouit sa tête dans le col de mon manteau.
— Oui, c’est cela, mon petit, pleure, dis-
je en caressant la petite épaule.
A Bournemouth. en attendant le départ
de l’avion, nous allons nous promener vers
la plage. La plage... Des buissons de bar
belés hauts d’un mètre cinquante, à la li
mite de la marée haute. Le toit des cabi
nes de bains laisse passer le mufle des
mitrailleuses. Mitrailleuses dans les fa
laises, mitrailleuses partout. Nous renon
çons à gagner la plage. Autant aller faire
des achats en ville. Les vêtements de Mar
garet m’avaient semblé amusants, à pre
mière vue. Je vois maintenant qu’ils sont
usés et beaucoup trop petits.
Margaret sait exactement ce qu’elle
veut : un manteau bleu, guêtres et cha
peau assortis. Pendant qu’on me rend la
monnaie, elle aperçoit, au rayon des jouets,
un éléphant de tissu.
— C’est Babar, m'assure-t-elle.
Hier, j’ai lu à John et Margaret une
histoire où figurait l’éléphant Babar.
Margaret ne sera plus seule désormais.
Elle a Babar. Babar prend le thé avec nous.
Il y a toujours une cuillerée de bouillie et
une gorgée de lait pour Babar. Il a détrôné
l’unique jouet de Margaret : une culasse
de bombe tombée dans son jardin et qui
ne l’avait jamais quittée. Ce soir, c’est
Babar qu’elle prend dans son lit. Il faut
que j’embrasse Babar, que je le borde.
A Lisbonne, les bons
hôtels sont pleins. Dans une auberge dé
labrée, je trouve une chambre avec un lit
à deux personnes. Margaret découvre deux
ustensiles essentiellement
latins : certain récipient de
porcelaine et un bidet.
— Des baignoires pour
Babar, déclare-t-elle sans
hésitation.
Puis un problème se pose :
— Papa, je voudrais aller
au petit coin.
Nous voici dans le couloir:
moi, correspondant de guer
re de quarante ans. escor
tant une petite demoiselle
de trois ans et demi dans
une expédition quelque peu
urgente. Où nous faut-il en
trer ? Je n’ose m’introduire
dans le colombier intitulé
« Senoras ». Nous entrons
chez les « Hombres ». Il se
trouve là un étalage com
pliqué de tuyauteries, dont
l’une retient l’attention d’un
solide militaire portugais.
Apercevant Marggjet, il
bondit comme une biche
effarouchée, s’ajuste préci
pitamment et, furieux, bat
en retraite.
Le soir, après le dîner,
nous traversons le hall de
l’hôtel. Margaret pousse un
cri :
-— Papa, qu’est-ce que
c’est que ça ?
Je ne vois rien de parti
culier. Tout à coup, je com
prends. C’est la première
fois de sa vie que Margaret
voit une rue illuminée dans
la nuit. L’émerveillement transfigure son
museau pâle et maigrichon d’enfant du
black-out.
N’avoir jamais vu les boutiques, les an
nonces lumineuses. Ne connaître de la nuit
que les ténèbres, l’effroi, le fracas des bom
bes. Un petit enfant de trois ans et demi...
U a traversée a été
longue, mais nous voilà dans le port de
New-York. Il me faut discuter à propos de
Margaret, car elle est étrangère et doit dé
clarer la liste de ses biens. Alors, sur la for
mule de la douane, j’inscris, à côté de son
nom : un éléphant usagé, une culasse de
bombe incendiaire au magnésium.
Katherine nous attend sur le quai.
Pendant le premier
mois, il nous a fallu, chaque soir, tirer soi
gneusement les rideaux dans la chambre
de Margaret, afin qu’elle ose s’endormir.
Parfois, il est vrai, de vieilles terreurs
surgissent. Mais elles sont fugitives et de
plus en plus rares. Le jour est proche où
Margaret aura oublié la peur. M. L. W.
9
accueille. Margaret réédite son tic étran
ge : une paume frotte un œil sec et brû
lant, puis l’autre paume, l’autre œil.
Hedy se penche sur l’enfant :
— Tu as envie de pleurer, Margaret ?
Eh bien ! pleure.
— Quand on pleure, on attrape des gi
fles. dit-elle.
— Ici, nous ne giflons jamais les petites
filles.
Elle s’agenouille, attire doucement l’en
fant à elle. Margaret pousse un long sou
pir tremblé, puis s’offre le luxe de hurle
ments, de sanglots, de larmes. Les petites
mains, détendues, s’ouvrent sans plus se
soucier de frotter les paupières.
Je voudrais me boucher les oreilles. Je
supplie Hedy du regard : elle a déchaîné
c e concert ; qu’elle l’arrête, bon Dieu !
Qu'elle l’arrête. Mais non, elle sourit tout
heureuse, d’avoir déchiffré du premier
coup le tic étrange de l’enfant.
En deux mots, voici l’histoire. La ma-
m an de Margaret, tuée dans
un bombardement. Son père
m °rt à la guerre. L’enfant
est placée chez une brave
femme qui fait ce qu’elle
Peut. Mais Margaret ne
cesse de pleurer, de crier :
« Maman, je veux ma ma-
m an, je veux retourner chez
ma maman ! » Et la bonne
femme, à bout, la fait taire
avec des gifles. Margaret en
conclut qu’on ne doit j amais
Pleurer ce qu’on aime, et
Qu’il faut refouler ses lar
mes.
A u goûter, Mar
garet et John déclarent
Qu’ils ne mangeront que si
le m’assieds entre eux deux.
A chaque bouchée, ils lèvent
le s yeux vers moi pour s’as
surer de ma présence. Pour-
Quoi cet attachement ? Ils
me connaissent à peine.
— Parce que vous êtes le
hen entre hier et aujour
d'hui, explique Hedy. C’est
J® manque de continuité
dans leur vie qui affole ces
Petits.
Il faut voir manger Mar
ket. Elle, qui refusait toute
Pourriture, a absorbé deux
assiettées de bouillie, un
verre de lait, de la saucisse,
des toasts, une pomme. Tout
cela parce qu’on lui a per
des de pleurer.
, Après le goûter, les enfants prennent un
°ain et puis, au lit.
— Tu dors avec nous, déclare John.
— Je veux qu’il reste avec nous, gémit
Margaret.
Les deux enfants se mettent à pleurer.
On dresse un lit pour moi dans leur
Çhambre. Quand les enfants sont endormis,
ie me déshabille et me glisse dans le lit.
11 est six heures et demie du soir. Pas pré
cisément mon heure habituelle.
Un ronflement sourd
n ‘'éveille dans la nuit : les bombardiers
allemands. Margaret gémit dans son som-
meil. Elle s’éveille et se dresse. John n’a
Pas bougé. Sur la pointe des pieds, dans
ms ténèbres, je m’approche du petit lit
de Margaret. Elle tend ses bras vers moi.
Elle tremble et étreint mon cou.
—- Quand est-ce qu’il va s’en aller ? de
mande-t-elle.
Je réponds avec calme :
Mais je ne suis pas calme. Le gronde
ment est juste au-dessus de nos têtes. Si
Quelque chose doit arriver, ce sera dans
ûne seconde, peut-être deux...
Le grondement s’éloigne, le danger est
passé. Margaret se détend et je la remets
dans son lit.
J’ai décidé de les em
mener tous deux. Mais voilà que l’avion de
Lisbonne n’accepte pas mes enfants. Inu
tile d’insister. Il ne prend que huit passa
gers qui, souvent, attendent leur tour pen
dant des mois. Le poids est contrôlé si
minutieusement quon me demande de ré
duire mes bagages à vingt kilos. Vingt
kilos ? Au fait, Margaret en pèse seize et
John, dix-huit et demi. Finalement, le mi
nistère de l’Air m’autorise à prendre un
enfant, à la place de mes bagages, à con
dition qu’il soit assis sur mes genoux.
Un enfant seulement... Lequel ?
Avec le secours d’Anna et d’Hedy, je me
décide enfin. Pour Margaret.
A' ur le quai du train
de Bournemouth, nous formons un couple
très remarqué : moi, sac au dos, dans mon
Dans le film, Le Voyage de Margaret, Robert Young incarne le rôle
de M. L. White, et Margaret O’Brien — bonnet pointu, éclat d’obus
— la petite héroïne qui cherché la paix, le bonheur et l’oubli.
vieil imperméable, un casque militaire bal
lant sur ma cuisse gauche et, dans ma
main droite, la patte menue de cette fil
lette à guêtres rouges et chaperon pointu.
Le train fait halte dans un petit pate
lin. Je saute sur le quai. Des cris de ter
reur m’arrêtent. Je reviens en courant vers
Margaret.
— Qu’est-ce qu’il y a, petite ? Tu croyais
que j’allais te laisser ? Tu sais bien que
papa ne te quittera plus jamais.
Elle secoue la tête solennellement. Mais
les larmes montent. Elle lutte, et puis en
fouit sa tête dans le col de mon manteau.
— Oui, c’est cela, mon petit, pleure, dis-
je en caressant la petite épaule.
A Bournemouth. en attendant le départ
de l’avion, nous allons nous promener vers
la plage. La plage... Des buissons de bar
belés hauts d’un mètre cinquante, à la li
mite de la marée haute. Le toit des cabi
nes de bains laisse passer le mufle des
mitrailleuses. Mitrailleuses dans les fa
laises, mitrailleuses partout. Nous renon
çons à gagner la plage. Autant aller faire
des achats en ville. Les vêtements de Mar
garet m’avaient semblé amusants, à pre
mière vue. Je vois maintenant qu’ils sont
usés et beaucoup trop petits.
Margaret sait exactement ce qu’elle
veut : un manteau bleu, guêtres et cha
peau assortis. Pendant qu’on me rend la
monnaie, elle aperçoit, au rayon des jouets,
un éléphant de tissu.
— C’est Babar, m'assure-t-elle.
Hier, j’ai lu à John et Margaret une
histoire où figurait l’éléphant Babar.
Margaret ne sera plus seule désormais.
Elle a Babar. Babar prend le thé avec nous.
Il y a toujours une cuillerée de bouillie et
une gorgée de lait pour Babar. Il a détrôné
l’unique jouet de Margaret : une culasse
de bombe tombée dans son jardin et qui
ne l’avait jamais quittée. Ce soir, c’est
Babar qu’elle prend dans son lit. Il faut
que j’embrasse Babar, que je le borde.
A Lisbonne, les bons
hôtels sont pleins. Dans une auberge dé
labrée, je trouve une chambre avec un lit
à deux personnes. Margaret découvre deux
ustensiles essentiellement
latins : certain récipient de
porcelaine et un bidet.
— Des baignoires pour
Babar, déclare-t-elle sans
hésitation.
Puis un problème se pose :
— Papa, je voudrais aller
au petit coin.
Nous voici dans le couloir:
moi, correspondant de guer
re de quarante ans. escor
tant une petite demoiselle
de trois ans et demi dans
une expédition quelque peu
urgente. Où nous faut-il en
trer ? Je n’ose m’introduire
dans le colombier intitulé
« Senoras ». Nous entrons
chez les « Hombres ». Il se
trouve là un étalage com
pliqué de tuyauteries, dont
l’une retient l’attention d’un
solide militaire portugais.
Apercevant Marggjet, il
bondit comme une biche
effarouchée, s’ajuste préci
pitamment et, furieux, bat
en retraite.
Le soir, après le dîner,
nous traversons le hall de
l’hôtel. Margaret pousse un
cri :
-— Papa, qu’est-ce que
c’est que ça ?
Je ne vois rien de parti
culier. Tout à coup, je com
prends. C’est la première
fois de sa vie que Margaret
voit une rue illuminée dans
la nuit. L’émerveillement transfigure son
museau pâle et maigrichon d’enfant du
black-out.
N’avoir jamais vu les boutiques, les an
nonces lumineuses. Ne connaître de la nuit
que les ténèbres, l’effroi, le fracas des bom
bes. Un petit enfant de trois ans et demi...
U a traversée a été
longue, mais nous voilà dans le port de
New-York. Il me faut discuter à propos de
Margaret, car elle est étrangère et doit dé
clarer la liste de ses biens. Alors, sur la for
mule de la douane, j’inscris, à côté de son
nom : un éléphant usagé, une culasse de
bombe incendiaire au magnésium.
Katherine nous attend sur le quai.
Pendant le premier
mois, il nous a fallu, chaque soir, tirer soi
gneusement les rideaux dans la chambre
de Margaret, afin qu’elle ose s’endormir.
Parfois, il est vrai, de vieilles terreurs
surgissent. Mais elles sont fugitives et de
plus en plus rares. Le jour est proche où
Margaret aura oublié la peur. M. L. W.
9
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 85.61%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 85.61%.
- Auteurs similaires Science politique Science politique /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=dc.subject adj "Science politique"Bibliographie générale des sciences juridiques, politiques, économiques et sociales de 1800 à 1925-1926. Tome 1 / par A. Grandin ; publiée par la Société anonyme du Recueil Sirey /ark:/12148/bpt6k33136k.highres La politique naturelle, ou Discours sur les vrais principes du gouvernement. Tome 1 / , par un ancien magistrat /ark:/12148/bd6t5933850k.highresSciences sociales Sciences sociales /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=dc.subject adj "Sciences sociales"
-
-
Page
chiffre de pagination vue 8/19
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://0-gallica-bnf-fr.catalogue.libraries.london.ac.uk/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k30541439/f8.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://0-gallica-bnf-fr.catalogue.libraries.london.ac.uk/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k30541439/f8.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://0-gallica-bnf-fr.catalogue.libraries.london.ac.uk/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k30541439/f8.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://0-gallica-bnf-fr.catalogue.libraries.london.ac.uk/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k30541439/f8.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://0-gallica-bnf-fr.catalogue.libraries.london.ac.uk/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k30541439
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://0-gallica-bnf-fr.catalogue.libraries.london.ac.uk/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k30541439
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://0-gallica-bnf-fr.catalogue.libraries.london.ac.uk/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k30541439/f8.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest