BYRON
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le reverrait jamais. Thomas Moore, selon sa coutume, a,
dans ses mémoires sur Byron, fait beaucoup de métaphy-
sique et depensé beaucoup d'érudition pour prouver que
lord Byron ne pouvait pas être heureux en ménage. Un mot
do Byron, que lui-même il rapporte, aurait dû lui épar-
gner la peine et de faire une psychologie matrimoniale des
poètes, et de dresser la liste des grands hommes céliba-
taires. Ce mot, le voici « Les causes de notre séparation
sont trop simples pour être aisément trouvées. » En effet,
entre un poëte jeune, ardent, et une femme froide et atta-
chée à ses devoirs, il ne devait pas y avoir de sympathie.
Lord Byron était l'un des administrateurs de Drury-Lane; il y
avait dans ces nouvelles occupations de quoi inquiéter une
femme moins susceptible que lady Byron. Il est douteux
qu'il ait eu des torts; la noble conduite qu'il a toujours
tenue après sa séparation semble prouver son innocence;
mais son caractère impétueux et ses habitudes étranges ont
dû fournir mille occasions de brouille et de rupture. Lady
Byron, pour s'excuser d'avoir écrit une lettre pleine de ten-
dresse à son mari peu de temps avant de le quitter, a
adressé à Thomas Moore quelques lignes qu'il ne faut point
hésiter à blâmer. Elle devait au père de sa fille et au plus
grand poète de son pays de garder un entier silence.
Peu de temps après une séparation à laquelle lord Byron
lui-même avait consenti, il fit paraître deux pièces de vers,
peu propres à ramener à lui le public, qui avait pris
hautement le parti de sa femme. The Sketch, satire dans le
goût de Juvénal, où il s'abaissa jusqu'à poursuivre de traits
sanglants une servante dont l'influence lui avait été funeste,
lui donna un caractère de violence qui nuisit à sa digni,té.
L'autre pièce, son fameux Adieu à sa femme, est encore
restée une énigme pour ses amis. Il semble y avouer des torts,
qui sont imaginaires et y affecter pour sa femme une ten-
dresse, qu'il ne ressentait pas. Mais il ne faut pas attacher
trop d'importance à cette production charmante et passion-
cée c'est le caprice d'un poëte qui fait mentir la vie réelle
pour se peindre avec plus de bonheur. L'impopularité de
Byron fut à son comble après l'apparition de ces vers. Les
journaux l'attaquèrent les caricatures multiplièrent son
image les cercles lui furent fermes, et l'on passait pour
courageux quand on le recevait dans son salon. Le parti
aristocratique, qu'il avait négligé, les saints, qu'il avait
offensés, les femmes, qui croyaient avoir à se plaindre de
lui, s'unirent pour en faire un monstre; et les mots de
vampire de Turc barbare, d'ogre et d'assassin, peuvent à
peine donner une idée de ce qu'on pensait de lord Byron
en Angleterre à cette époque. Enfin, les journaux ne trou-
vèrent rien de mieux que de le représenter comme un vo-
leur de cabriolets.
Lord Byron quitta l'Angleterre pour la seconde et la der-
nière fois, le 25 avril IS16. Il débarqua à Ostende, traversa
la Flandre et parcourut les bords du Rhin. Il s'âlrêta quel-
que temps à Genève, et occupa, sur les bords du lac, la
villa Diodati, qui commande la vue du Léman. A peine ar-
rivé à Genève, il y fit la connaissance de S h elle y et de sa
femme Shelley était chassé de son pays par l'intolérance.
Sa conversation originale, son imagination, qui, pour nous
servir d'une expression de Moore, aurait pu suffire à une
génération entière de poètes, durent plaire à lord Byron.
L'intimité de lord Byron avec cet homme si extraordinaire
et si malheureux fut certainement favorable au développe-
ment de son génie. Vathêc Shelley avait une philosophie
mystique, et pour nous servir d'une expression de Milton
elle était musicale comme le luth d'Apollon.
musical as is Apollo's Iule.
On s'apercevra facilement en lisant les vers que Byron a
composés postérieurement à sa liaison avec Sliolley de l'in-
fluence quercspril méditatif et rêveur de ce dernier a exercée
sur lui.
Co fut près de Genève, pendant une semaine pluvieuse
qui les renfermait à la maison, que Shelley, sa femme et lord
Byron s'amusèrent à composer des nouvelles dans le genre
d'histoires allemandes, remplies de scènes et de traits dia-
boliques, qu'ils avaient lues pour tromper leur ennui. Une
de ces nouvelles, Frankenstein composée par mistress
Shelley, est restée une œuvre d'originalité et de talent. By-
ron traça à cette époque l'esquisse du Vampire. Un jeune
homme, le docteur Polidori, qui était son médecin et son
protégé, s'empara de cette esquisse abandonnée par lord
Byron, et composa ce roman du Vampire qui parut en
France sous le nom du poëte, et qui commença, il faut le
dire, la réputation de Byron parmi nous. Lord Byron avait
vu Mme de Staël à Coppet, et celle-ci l'avait décidé à
tenter un raccommodement avec lady Byron. La démarche
qu'il fit ne réussit pas ce fut peu de temps après qu'il com-
posa the Dream (le Rêve ), dans lequel il peint ses mal-
heurs avec une exquise sensibilité.
Byron quitta bientôt la Suisse pour l'Italie. Il visita Mi-
lan et Vérone, où il vit Monti. Il se fixa à Venise, en îsiG.
C'était certainement la ville qui convenait le mieux à un
poëte, à un homme qui avait besoin de distractions et de plai-
sirs. Venise, qui est une ruine vivante, a beaucoup de char-
mes pour tes Anglais et si VHéloïse de Rousseau avait poétisé
pour Byron les bords du lac de Genève, V Othello et la Ve-
nise sauvée rappelaient à son imagination deux des plus
nobles efforts de la Muse anglaise. 11 y retrouva aussi des
habitudes sociales qui flattèrent la renaissance de ses pas-
sions, si nous pouvons nous exprimer ainsi. Il eut d'abord
pour mattresso la jeune femme d'un marchand, nommée
Marianna, qui était d'une rare beauté. En même temps qu'il
se jouait avec l'intelligence enfantine de Marianna, et qu'il
était l'esclave de ses caprices et de sa jalousie, il se rendait
chaque jour dans un couvent de moines arméniens, et y
apprenait la langue arménienne. Son génie poétique ne res-
tait pas non plus oisif. Il termina le troisième chant de
Childe-Barold fit paraitre les Lamentations du Tasse, et
composa le drame de Manfred. Ce drame étrange, et qui
le premier a introduit sur le théâtre les esprits de la na-
ture et fait des montagnes et des précipices des êtres avec
lesquels on peut converser, obtint le plus grand succès, par-
ticulièrement en Allemagne. On y retrouve une imitation
évidente du Faust de Goethe. Byron n'avait pu lire ce
drame dans l'allemand, qu'il n'entendait pas mais M. Le-
wis le lui avait traduit en anglais. En 1817 il quitta Venise
pour aller visiter Rome. 11 vit cette cité de l'âmo ( city of
the soul ) en très-peu de temps. Marianna attendait avec
impatience son retour à Venise; il y revint, et composa le
quatrième chant de Childe-Bm'old, qui est généralement
considéré comme son inspiration la plus haute. Maintenant
va se montrer une nouvelle face de sa vie, va commencer
un nouveau développement de son talent.
Depuis son départ d'Angleterre, les événements et les
lieux avaient merveilleusement préparé les deux premiers
chants de Childc-Harold. Il ne manquait à son génie, pour
nous servir de l'expression si heureuse de Bossuet, que
ce je ne sais quoi d'achevé que donne le matheur ». Sur ce
point il n'avait plus rien à désirer. Une mélancolie grave
s'étant emparée de lui, tout le portait à s'élever au-dessus
de ce monde, qui le repoussait. La plaine de Waterloo les
bords du lac de Genève, pleins des souvenirs de la Julie,
élevèrent sa pensée, que les entretiens de Shelley servirent
à spiritualiser. Enfin, tranquille à Venise, bercé par un
amour enjoué, vivant sous le ciel inspirateur de l'Italie, il
termina son œuvre majestueuse. Mais la vie s'était réveillée
en lui l'inspiration, au lieu d'épuiser son génie, en avait
au contraire fait jaillir des sources nouvelles. Il était, dit
Shelley, dans une admirable veine de composition; il se
sentait fertile, et, cuivré de sa force, il se jeta dans le
monde et dans ses erreurs. Marianna fut abandonnée. II
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le reverrait jamais. Thomas Moore, selon sa coutume, a,
dans ses mémoires sur Byron, fait beaucoup de métaphy-
sique et depensé beaucoup d'érudition pour prouver que
lord Byron ne pouvait pas être heureux en ménage. Un mot
do Byron, que lui-même il rapporte, aurait dû lui épar-
gner la peine et de faire une psychologie matrimoniale des
poètes, et de dresser la liste des grands hommes céliba-
taires. Ce mot, le voici « Les causes de notre séparation
sont trop simples pour être aisément trouvées. » En effet,
entre un poëte jeune, ardent, et une femme froide et atta-
chée à ses devoirs, il ne devait pas y avoir de sympathie.
Lord Byron était l'un des administrateurs de Drury-Lane; il y
avait dans ces nouvelles occupations de quoi inquiéter une
femme moins susceptible que lady Byron. Il est douteux
qu'il ait eu des torts; la noble conduite qu'il a toujours
tenue après sa séparation semble prouver son innocence;
mais son caractère impétueux et ses habitudes étranges ont
dû fournir mille occasions de brouille et de rupture. Lady
Byron, pour s'excuser d'avoir écrit une lettre pleine de ten-
dresse à son mari peu de temps avant de le quitter, a
adressé à Thomas Moore quelques lignes qu'il ne faut point
hésiter à blâmer. Elle devait au père de sa fille et au plus
grand poète de son pays de garder un entier silence.
Peu de temps après une séparation à laquelle lord Byron
lui-même avait consenti, il fit paraître deux pièces de vers,
peu propres à ramener à lui le public, qui avait pris
hautement le parti de sa femme. The Sketch, satire dans le
goût de Juvénal, où il s'abaissa jusqu'à poursuivre de traits
sanglants une servante dont l'influence lui avait été funeste,
lui donna un caractère de violence qui nuisit à sa digni,té.
L'autre pièce, son fameux Adieu à sa femme, est encore
restée une énigme pour ses amis. Il semble y avouer des torts,
qui sont imaginaires et y affecter pour sa femme une ten-
dresse, qu'il ne ressentait pas. Mais il ne faut pas attacher
trop d'importance à cette production charmante et passion-
cée c'est le caprice d'un poëte qui fait mentir la vie réelle
pour se peindre avec plus de bonheur. L'impopularité de
Byron fut à son comble après l'apparition de ces vers. Les
journaux l'attaquèrent les caricatures multiplièrent son
image les cercles lui furent fermes, et l'on passait pour
courageux quand on le recevait dans son salon. Le parti
aristocratique, qu'il avait négligé, les saints, qu'il avait
offensés, les femmes, qui croyaient avoir à se plaindre de
lui, s'unirent pour en faire un monstre; et les mots de
vampire de Turc barbare, d'ogre et d'assassin, peuvent à
peine donner une idée de ce qu'on pensait de lord Byron
en Angleterre à cette époque. Enfin, les journaux ne trou-
vèrent rien de mieux que de le représenter comme un vo-
leur de cabriolets.
Lord Byron quitta l'Angleterre pour la seconde et la der-
nière fois, le 25 avril IS16. Il débarqua à Ostende, traversa
la Flandre et parcourut les bords du Rhin. Il s'âlrêta quel-
que temps à Genève, et occupa, sur les bords du lac, la
villa Diodati, qui commande la vue du Léman. A peine ar-
rivé à Genève, il y fit la connaissance de S h elle y et de sa
femme Shelley était chassé de son pays par l'intolérance.
Sa conversation originale, son imagination, qui, pour nous
servir d'une expression de Moore, aurait pu suffire à une
génération entière de poètes, durent plaire à lord Byron.
L'intimité de lord Byron avec cet homme si extraordinaire
et si malheureux fut certainement favorable au développe-
ment de son génie. Vathêc Shelley avait une philosophie
mystique, et pour nous servir d'une expression de Milton
elle était musicale comme le luth d'Apollon.
musical as is Apollo's Iule.
On s'apercevra facilement en lisant les vers que Byron a
composés postérieurement à sa liaison avec Sliolley de l'in-
fluence quercspril méditatif et rêveur de ce dernier a exercée
sur lui.
Co fut près de Genève, pendant une semaine pluvieuse
qui les renfermait à la maison, que Shelley, sa femme et lord
Byron s'amusèrent à composer des nouvelles dans le genre
d'histoires allemandes, remplies de scènes et de traits dia-
boliques, qu'ils avaient lues pour tromper leur ennui. Une
de ces nouvelles, Frankenstein composée par mistress
Shelley, est restée une œuvre d'originalité et de talent. By-
ron traça à cette époque l'esquisse du Vampire. Un jeune
homme, le docteur Polidori, qui était son médecin et son
protégé, s'empara de cette esquisse abandonnée par lord
Byron, et composa ce roman du Vampire qui parut en
France sous le nom du poëte, et qui commença, il faut le
dire, la réputation de Byron parmi nous. Lord Byron avait
vu Mme de Staël à Coppet, et celle-ci l'avait décidé à
tenter un raccommodement avec lady Byron. La démarche
qu'il fit ne réussit pas ce fut peu de temps après qu'il com-
posa the Dream (le Rêve ), dans lequel il peint ses mal-
heurs avec une exquise sensibilité.
Byron quitta bientôt la Suisse pour l'Italie. Il visita Mi-
lan et Vérone, où il vit Monti. Il se fixa à Venise, en îsiG.
C'était certainement la ville qui convenait le mieux à un
poëte, à un homme qui avait besoin de distractions et de plai-
sirs. Venise, qui est une ruine vivante, a beaucoup de char-
mes pour tes Anglais et si VHéloïse de Rousseau avait poétisé
pour Byron les bords du lac de Genève, V Othello et la Ve-
nise sauvée rappelaient à son imagination deux des plus
nobles efforts de la Muse anglaise. 11 y retrouva aussi des
habitudes sociales qui flattèrent la renaissance de ses pas-
sions, si nous pouvons nous exprimer ainsi. Il eut d'abord
pour mattresso la jeune femme d'un marchand, nommée
Marianna, qui était d'une rare beauté. En même temps qu'il
se jouait avec l'intelligence enfantine de Marianna, et qu'il
était l'esclave de ses caprices et de sa jalousie, il se rendait
chaque jour dans un couvent de moines arméniens, et y
apprenait la langue arménienne. Son génie poétique ne res-
tait pas non plus oisif. Il termina le troisième chant de
Childe-Barold fit paraitre les Lamentations du Tasse, et
composa le drame de Manfred. Ce drame étrange, et qui
le premier a introduit sur le théâtre les esprits de la na-
ture et fait des montagnes et des précipices des êtres avec
lesquels on peut converser, obtint le plus grand succès, par-
ticulièrement en Allemagne. On y retrouve une imitation
évidente du Faust de Goethe. Byron n'avait pu lire ce
drame dans l'allemand, qu'il n'entendait pas mais M. Le-
wis le lui avait traduit en anglais. En 1817 il quitta Venise
pour aller visiter Rome. 11 vit cette cité de l'âmo ( city of
the soul ) en très-peu de temps. Marianna attendait avec
impatience son retour à Venise; il y revint, et composa le
quatrième chant de Childe-Bm'old, qui est généralement
considéré comme son inspiration la plus haute. Maintenant
va se montrer une nouvelle face de sa vie, va commencer
un nouveau développement de son talent.
Depuis son départ d'Angleterre, les événements et les
lieux avaient merveilleusement préparé les deux premiers
chants de Childc-Harold. Il ne manquait à son génie, pour
nous servir de l'expression si heureuse de Bossuet, que
ce je ne sais quoi d'achevé que donne le matheur ». Sur ce
point il n'avait plus rien à désirer. Une mélancolie grave
s'étant emparée de lui, tout le portait à s'élever au-dessus
de ce monde, qui le repoussait. La plaine de Waterloo les
bords du lac de Genève, pleins des souvenirs de la Julie,
élevèrent sa pensée, que les entretiens de Shelley servirent
à spiritualiser. Enfin, tranquille à Venise, bercé par un
amour enjoué, vivant sous le ciel inspirateur de l'Italie, il
termina son œuvre majestueuse. Mais la vie s'était réveillée
en lui l'inspiration, au lieu d'épuiser son génie, en avait
au contraire fait jaillir des sources nouvelles. Il était, dit
Shelley, dans une admirable veine de composition; il se
sentait fertile, et, cuivré de sa force, il se jeta dans le
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